Si vous avez déjà au cours de ces derniers mois, la forte impression de payer vos courses plus cher, cela ne fait que commencer !
Vos courses vous coûteront plus cher à partir de mars prochain comme d’ores et déjà annoncé par des professionnels de la grande distribution. Plus de détails dans les prochaines lignes de notre article.
Vos courses coûteront plus cher à partir de mars
L’inflation «prendra tout simplement la forme d’un mur», estime un expert dans les colonnes du Figaro. Tous les autres acteurs de la grande distribution sont unanimes sur le sujet.
Michel Edouard-Leclerc, le patron des centres Leclerc disait, il y a quelques semaines, que l’on assistera d’ici peu, à un véritable «tsunami d’inflation».
Voilà qui va être encore un gros coup dur sachant que les Français font déjà quotidiennement «face» à une routine pas du tout facile depuis plusieurs mois durant.
La directrice des achats alimentaires du groupe Auchan a évoqué sur RMC, «une hausse d’environ 10%, en plus de l’inflation actuelle». Les prix des produits alimentaires ont en effet accusé une hausse de 13,85% au mois de janvier, selon IRI.
D’après 60 Millions de consommateurs, qui cite les chiffres de l’Institut NielsenIQ, « table sur une augmentation de 15% sur un an d’ici au mois de juin, avec un surcoût de 790 euros par ménage », par rapport à un même panier de course en 2021.
« 45 % des Français sont aujourd’hui fragilisés par la hausse des prix » !
Pour arriver à ce chiffre, le panéliste a analysé la hausse de prix de quelque 300.000 références constatées dans 10.000 magasins dans tout l’Hexagone.
D’après l’association de défense des consommateurs,« 45 % des Français sont aujourd’hui fragilisés par la hausse des prix« , soit 25 points de plus qu’au mois de mai.
Les moins de 50 ans et les familles sont les plus affectés par cette envolée des prix, « avec des dépenses consacrées aux courses en recul respectivement de 3,7 % et 3,8 % », peut-on lire sur le site tf1info.fr.
Les Français sont contraints de changer leurs comportements d’achat, en se tournant davantage sur des articles à prix réduit, ou ceux avec des dates limite de consommation plus proches.
« Seuls 3 millions (soit 9 % de la population) » disent ne pas être touchés par cette importante inflation.