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Voici l’arnaque immobilière qui a coûté 400 000€ à certains investisseurs

Voici larnaque immobilière qui a coûté 400 000€ à certains investisseurs
© Adobestock

Voici l’arnaque immobilière qui a coûté 400 000€ à certains investisseurs. Découvrez plus de détails dans nos prochaines lignes.

Voici l’arnaque immobilière qui a coûté 400 000€ à certains investisseurs. Comme alerté par la Fédération des entreprises immobilières, des malfaiteurs usurpent l’identité de certaines sociétés adhérentes pour tromper des investisseurs immobiliers.

Alerte : la Fédération des entreprises immobilières alarme contre cette arnaque de taille qui ont fait perdre jusqu’à 400 000 euros à certains investisseurs.

De nombreuses plaintes ont déjà été déposées à ce sujet. Certaines des victimes ont perdu jusqu’à 400 000€ dans cette redoutable affaire d’escroquerie.

Les malfaiteurs reprennent non seulement le nom de l’entreprise mais également le logo voire jusqu’à la signature des dirigeants afin de créer un faux site Internet.

« Les usurpateurs reproduisent avec le souci du détail […] des entreprises immobilières réelles afin de rendre crédibles leurs offres frauduleuses » , explique la FEI.  Ils vont jusqu’à créer « de faux contrats, plaquettes ou bulletins de souscription ».

Les investisseurs sont par la suite mis sous pression pour réaliser des investissements immobiliers rapides et ce, par l’intermédiaire de fausses parts de SCPI, de faux livrets d’épargne ou encore de faux actifs immobiliers (notamment des résidences seniors EHPAD ou des emplacements de parking).

Les victimes reçoivent jusqu’à un ou deux versements avant que les aigrefins ne disparaissent.

Voici comment se prémunir de ces arnaques.

Face à cette escroquerie, la FEI recommande de faire preuve davantage de vigilance.

Pour ce faire, vous devriez prêter attention à ces trois conseils suivants. A savoir le fait de procéder soi-même à une vérification des coordonnées de la société immobilière.

Il convient de ne surtout pas prendre de décision précipitée sous une soi-disant contrainte de temps.

Vérifiez également les adresses e-mail de l’entreprise et consulter sur la plateforme commune de l’autorité des marchés financiers (AMF) et de l’ACPR (le gendarme de la banque et des assureurs), le tableau récapitulatif des acteurs et sites non autorisés.