Depuis le jour où il a provoqué un accident de voiture qui s’est produit le vendredi 10 février 2023, l’avenir de l’acteur est scellé. Sans parler de cette lourde peine qui plane sur sa tête, Pierre Palmade risque de perdre toute sa fortune. Le point avec la rédaction d’Il Est Encore Temps.
« Mort quoique vivant« . C’est ainsi que son entourage le qualifiait et ce depuis de nombreuses années. Pour cette fois-ci, Pierre Palmade semble avoir atteint le comble de sa folie et risque de tout perdre.
Pierre Palmade, addict à la drogue…
En effet, les déboires de l’humoriste français ne datent pas d’aujourd’hui. « La journée, je suis un ermite dans une caverne. Il fait noir. Je me réveille allongé sur la moquette le nez en sang« , confessait-il d’ailleurs dans son livre autobiographique, paru en 2019.
Et Bien avant cet accident mortel qui a coûté la vie d’un fœtus, le comédien fait déjà l’objet d’une poursuite judiciaire pour détention d’image pédopornographique. Une situation qui rappelle le cas de l’ancien maître de midi, Christian Quesada.
Dans une entrevue accordée à la rédaction du magazine Voici, Pierre Palmade, gaspillait environ 5000 euros par semaine. Une grosse somme qu’il dépense avec ses escorts boys pour acheter des stupéfiants.
Connaissant le succès dès ses 20 ans, celui qui est devenu plus tard un grand producteur n’a jamais réussi à contrôler son comportement. Fêtard inconditionnel, le principal intéressé est devenu dépendant à la drogue au fil de sa réussite.
Au courant de l’année 1995, à l’âge de 27 ans, l’homme a connu sa première condamnation pour utilisation abusive des produits stupéfiants. Un problème qu’il a tenté tout de même de résoudre, mais sans réel succès. » Les problèmes d’alcool et de drogue, je souhaite, je veux, je prie pour qu’ils soient derrière moi« .
Pierre Palmade risque 20 ans de prison…
Après cet accident où une femme a perdu son bébé, Pierre Palmade risque gros. Au volant de sa Peugeot 3008, sous effet d’un stupéfiant, il encourt jusqu’à 20 ans de prison ferme pour « homicide et blessures involontaires« .
Mis en examen depuis quelques jours, un juge des libertés et de la détention a décidé de l’assigner à résidence au sein du service d’addictologie de l’hôpital Paul-Brousse( Villejuif, Val-de-Marne).
Décidé à le mettre derrière les barreaux, le parquet a fait appel a cette décision. L’affaire sera « examinée vendredi 24 février prochain…Par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris«