« Une horreur » : ce supplice de Jean-Luc Reichmann pour faire disparaître sa tache de vin !

Une horreur : ce supplice de Jean-Luc Reichmann pour faire disparaître sa tache de vin !
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Durant toute son enfance, l’actuel présentateur des 12 Coups de midi a tout fait pour faire l’impossible… Au point d’en subir de très vives douleurs. « Une horreur » : ce supplice de Jean-Luc Reichmann pour faire disparaître sa tache de vin.

Ce n’est pas un secret pour personne. Le journaliste vedette de la première chaîne publique souffre d’un angiome, bien visible sur la partie supérieure de son nez. Dès l’âge de la conscience, il a eu du mal à vivre avec. À plusieurs reprises, il a essayé donc de nombreux traitements qui n’ont abouti, quasiment, à rien. Autrement dit, il s’est donné beaucoup de mal pour rien. « Une horreur » : ce supplice de Jean-Luc Reichmann pour faire disparaître sa tache de vin. Ses terribles confidences…

« On a essayé la neige carbonique…ça se voyait trois fois plus »

Si l’homme de 61 ans a, aujourd’hui, une autre vision de cet angiome, les choses étaient beaucoup plus compliquées durant son enfance et son adolescence.

En voulant se débarrasser à tout prix de cette grosse tâche, Jean-Luc Reichmann a souffert énormément. Interrogée dans le cadre de la réalisation du célèbre documentaire, « Jean-Luc Reichmann, un destin hors du commun« , sa maman, en tenant compte de l’avis des médecins, était persuadée que cette tâche allait vraiment disparaître. Mais malheureusement, cela n’arriva jamais.

Avec la bénédiction du corps médical, le compagnon de Nathalie Lecoultre a vécu ce que lui-même appelle une « horreur » durant un très long moment. « On a essayé la neige carbonique, ça fait tellement mal« , confessait le papa des 6 enfants. « Et puis après ça se voyait trois fois plus, regrettait-il. Il y avait une croûte qui se formait, c’était une horreur« , se rappelait Jean-Luc Reichmann.

« Dans la cour de récréation…j’étais la tache ».

Un énorme traumatisme qui l’a poussé à vouloir arrêter ces traitements très tôt. Pour cela, il a dû faire face à la dure loi de la stigmatisation de la part de ses copains et camarades de classes. « Dans la cour de récréation, racontait-il, il y a le petit, le gros, le maigre, le rouquin, et moi j’étais la tache« .

Cependant, avec le temps, le papa de Rosalie a appris à vivre avec cette contradiction. Il a réussi à en tirer profit. « C’est peut-être grâce à cette différence que j’ai fait de la séduction, mon métier« .