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Tickets-restaurants : voici ce qui va changer à la rentrée

Tickets-restaurants : voici ce qui va changer à la rentrée
© Adobestock

Tickets-restaurants : voici ce qui va changer à la rentrée. L’équipe rédactionnelle d’Il est encore temps fait le point pour vous !

Tickets-restaurants : voici ce qui va changer à la rentrée. Découvrez vite les nouvelles conditions d’utilisations de ces titres-resto.

L’une des mesures votée par l’Assemblée nationale quelques jours plus tôt, dans le cadre de la loi pouvoir d’achat, concernait les titres-restaurants.

Tickets-restaurants : deux points majeurs vont changer d’ici la rentrée !

Bonne nouvelle pour les bénéficiaires ! D’ici septembre, l’utilisation des tickets va être élargie en vue d’aider les salariés et indépendants concernés, à mieux encaisser la flambée des prix.

Que faut-il attendre par-là ? Il ne sera plus obligatoire d’acheter des produits immédiatement consommables. Ils pourront désormais servir à régler l’intégralité de vos courses alimentaires.

La Commission nationale des titres-restaurants (CNTR) a parallèlement obtenu gain de cause en réclamant une augmentation du plafond journalier des titres-restaurants.

Dans le cadre de la crise sanitaire, ils avaient été plafonnés à 38€ par jour, mesure qui a pris fin le 1er juillet 2022, tout comme l’autorisation de payer en titres restaurants, le week-end.

Le plafond quotidien va d’ici peu, passer de 19 à 25€. La mesure entrera en vigueur dès la rentrée de septembre et jusque fin 2023.

Pourquoi les titres-restaurants n’ont été jusque-là limités qu’aux produits consommables ?

Si l’utilisation des titres-restaurants étaient jusque-là, uniquement limités aux produits immédiatement consommables, c’est notamment en vue de préserver les restaurants et les boulangeries, explique nos confrères de BFMTV.

Avant l’application de cette nouveauté, les produits non-transformés, les gâteaux du petit-déjeuner, les pâtes ou encore le riz ne sont pas « éligibles » au titres-restaurants, souligne encore BFMTV.

Les entreprises sont tenues de fournir ces titres-restaurants à leurs salariés si elles ne leur offrent pas de prime déjeuner ni ne leur proposent de lieu où déjeuner (cantine).

Cela n’exclut pas non plus l’obligation de mettre en place un espace de restauration au sein des locaux, où les employés peuvent stocker et faire réchauffer leur repas.