Gros moment de malaise sur France 2 après cet aveu surprenant d’un grand journaliste de la chaîne publique. Thomas Sotto, l’ultime sacrifice pour Mayada Boulos, Laurent Delahousse embarrassé.
Laurent Delahousse se retrouvait dans l’embarras total après une requête osée de son célèbre joker, Thomas Sotto. Le journaliste a renoncé, contre son gré, à une interview politique avec un membre important du Gouvernement. Désignée par la production pour mener l’entretien avec Mayade Boulos, une grande conseillère du premier ministre Jean Castex, le présentateur a désisté à cause de sa relation sentimentale avec Mayada Boulos. Thomas Sotto, l’ultime sacrifice pour Mayada Boulos, Laurent Delahousse embarrassé.
« Je n’ai aucune relation personnelle avec les politiques. Mais nous ne tombons pas dans le piège ».
Interrogé sur le sujet, Thomas Sotto ne s’est pas dégonflé. « Je n’ai aucune relation personnelle avec les politiques. Mais nous ne tombons pas dans le piège : parler à l’un ou l’une d’entre eux dans le cadre de mon métier ne signifie en rien leur faire allégeance. C’est même la base de notre profession. Ce n’est en rien de la connivence. Il ne faut pas tout mélanger », a-t-il déclaré.
Selon certaines sources, le joker de Laurent Delahousse aurait quitté la maman de ses enfants, la musicienne qui a embellit ses jours, pour les beaux yeux de Mayada Boulos. Une relation confirmée par nos confrères de Télématin, et qui ne l’empêcherait pas de discuter » d’autres sujets comme la « santé et la consommation » si la politique serait évitée.
Laurent Delahousse négocie une solution avec son joker, Thomas Sotto
Thomas Sotto reste tout de même le joker de Laurent Delahousse. Il a pris le relais le long des festivités de la fin d’année. Mais le compagnon d’Alice Taglioni ne serait pas tranquille tant que celui a pris sa place ne pourra pas recevoir des invités politiques au moment où la présidentielle de 2022 commence à battre son plein.
Si l’animateur vedette de la seconde chaîne n’a pas caché son embarras total face un tel scandale pour son journal, des solutions sont en train d’être négociées. Mais rien n’indique que la production accepterait leur arrangement. Affaire à suivre de près avec la rédaction d’Ilestencoretemps