L’animateur est au plus mal. Stéphane Plaza bouleversé par un deuil : « Je n’avais pas envie d’être heureux ». On vous raconte tout.
Si on dit que le temps soigne et guéri, l’agent immobilier le plus célèbre de France fait exception. Plusieurs années après la mort de sa mère, il continue de vivre avec le même regret. Stéphane Plaza bouleversé par un deuil : « Je n’avais pas envie d’être heureux ».
« Je n’avais jamais rien organisé avec lui…«
Le présentateur de 51 ans, accompagné de son père, a accordé une entrevue à nos confrères de Gala. Depuis la mort de sa mère qui remontait au courant de l’année 2016, il s’est rapproché davantage de son paternel.
La vedette de Maison à vendre a profité de cette occasion pour parler de sa défunte mère qui continu de lui manquer.
En prenant la parole en premier, Raymond Plaza n’a pas caché son admiration pour son fils Stéphane Plaza. « On parle de lui en bien et, je suis fier de lui et il le sait, débutait-il. Et si ça ne marche plus à la télé, a-t-il poursuivi, il lui restera toujours l’immobilier, son vrai métier. »
Un rapport père et fils basé sur l’amour et l’admiration mutuelle. Très complices, ils ont même passé les fêtes de fin d’année à la Martinique.
« Je n’étais jamais parti en voyage avec mon père, je n’avais jamais rien organisé avec lui, pour lui, j’ai décidé de ne pas passer à côté de mon papa » confessait le BFF de Karine Le Marchand.
« J’ai pris des cachets pour dormir« .
En revenant à la fin de vie de sa mère, il n’a pas eu les moyens de s’en remettre. « Nous ne voulions pas d’acharnement thérapeutique et nous l’avons accompagnée jusqu’au bout avec mon frère, papa et beau-papa« , affirmait-il.
« Dire à sa maman qu’elle va s’en sortir alors qu’on sait qu’elle ne va pas s’en sortir, ce n’est pas facile« , a-t-il fait bien savoir.
« J’ai pris des cachets pour dormir, je me suis épuisé au travail, ajoutait-il. Je n’avais pas envie d’être heureux. On peut penser qu’on est très entouré dans un métier comme le mien, mais dans ces moments-là, on est très seul« , regrettait-il.