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Stéphane Bern endetté jusqu’au cou et contraint de vendre sa maison

Stéphane Bern endetté jusquau cou et contraint de vendre sa maison
Stéphane Bern endetté jusqu’au cou et contraint de vendre sa maison !-© Bestimage

Interviewé dans les colonnes du Parisien, Stéphane Bern s’est montré très cash au sujet de sa situation financière. Ses confidences sans filtre.

Stéphane Bern est dans la tourmente financière : endetté jusqu’au cou, le célèbre présentateur est contraint de vendre sa maison. Il Est Encore Temps vous raconte tout.

Stéphane Bern endetté jusqu’au cou et contraint de vendre sa maison

Le célèbre animateur de « Secrets d’histoires » a su se bâtir un patrimoine conséquent depuis ses débuts à la télé.

Il est propriétaire du collège Royal de Thiron-Gardais, classé monument historique. Mais aussi d’un appartement dans le 9e arrondissement de Paris, et d’une maison sur l’île de Paros en Grèce.

Cependant, l’animateur de 59 ans a révélé lors d’une interview au Parisien qu’il a dû se résoudre à vendre sa propriété en Grèce, à cause d’une accumulation de dettes.

En effet, la restauration du monument historique acquis en 2013, pour 300 000 euros a coûté beaucoup plus cher que prévu, et Stéphane Bern « s’est endetté jusqu’à 4 millions d’euros à rembourser sur 25 ans ».

« Je l’ai acheté, en très mauvais état pour le prix d’un petit appartement parisien (…) Au début, on me disait : Avec 150 000 ou 200 000 euros, vous pouvez le restaurer. Mais il y a eu plein de soucis, comme la mérule (un champignon qui attaque le bois des charpentes), qui n’étaient pas prévus. Résultat, poursuit-il, je me suis endetté au-delà de mes capacités ».

« J’ai refusé toutes les aides publiques ». L’animateur a préféré utiliser l’intégralité de ses droits d’auteur et des revenus de ses émissions pour rembourser ses dettes.

Une situation financière difficile que Stéphane Bern n’hésite pas à comparer à un « tonneau des Danaïdes ».

Stéphane Bern répond cash aux rumeurs.

Malgré tout, le présentateur de 59 ans refuse d’être qualifié de sans-le-sou. Il tient à préciser : « Je ne suis pas ruiné, contrairement à ce qui a pu être écrit, et je ne souhaite pas susciter la pitié. Cependant, je dois être vigilant et continuer à travailler pendant encore longtemps pour rembourser mes dettes ».

« J’ai pris beaucoup de risques financiers, mais je ne regrette rien. Je dois rationaliser mon patrimoine, c’est pourquoi je vends ma propriété à Paros. Je n’ai pas envie de laisser de dettes après moi. Grâce à l’acquisition de Thiron-Gardais, j’ai trouvé ma voie : redonner vie à un monument historique. »