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Stationnement gênant : elle écope d’une amende parce que sa voiture se retrouve à l’envers suite aux émeutes

Stationnement gênant : elle écope dune amende parce que sa voiture se retrouve à lenvers suite aux émeutes
Stationnement gênant : elle écope d'une amende parce que sa voiture se retrouve à l'envers suite aux émeutes !-© Pinterest

Elle écope d’une amende pour stationnement gênant car sa voiture se retrouve à l’envers suite aux émeutes provoquées par la mort de Nahel ! On vous donne les détails.

Stationnement gênant : elle écope d’une amende parce que sa voiture se retrouve à l’envers suite aux émeutes

Non seulement Lucie Lopes a appris par surprise que son véhicule avait été mis à la fourrière, mais il a encore fallu qu’elle reçoive une contravention. Une mésaventure que la Lyonnaise ne risque pas d’oublier de sitôt.

C’est en regardant les photos et vidéos des émeutes qui ont touché la ville de Lyon après la mort de Nahel diffusées sur la Toile que la jeune femme de 23 ans a découvert ce qui est arrivée à son véhicule.

Comme raconté dans les colonnes du Parisien, « sa voiture a été mise sur le toit en plein milieu de la chaussée » par les émeutiers. Les faits ont eu lieu le 1er juillet dernier.

Arrivée sur place, la manageuse dans la restauration ne retrouve plus que des bribes de verre sur la chaussée. « Je me mets à pleurer sur le trottoir et j’appelle mon travail pour dire que je ne pourrai pas venir », confie Lucie Lopes auprès du Le Progrès.

Un homme qui se trouvait danss la rue lui apprend finalement que sa voiture a été envoyée à la fourrière près d’une demi-heure avant son arrivée.

A son retour de vacances, à quelques semaines de cela, la jeune femme reçoit une amende pour stationnement gênant de la police municipale de Lyon dans sa boîte aux lettres.

« Ce qui m’est arrivé est dur émotionnellement»

Avec son père, Lucie se rapproche de la police nationale qui indique être « effarée » par la situation, selon les dires Mr Fernando Lopes.

Sur place, ajoute-t-il, « aucune aide, aucune écoute » de la part de la police municipale, qui lui révèle à tort, que le PV a été émis le 7 juillet. Cela sous-entend que cette contravention n’était pas liée aux émeutes.

« Ce qui m’est arrivé est dur émotionnellement. Cela fait un mois que je gère cette histoire pendant mes jours de repos. J’aimerais être reconnue comme victime et qu’on m’aide financièrement », estime la vingtenaire.