« Que la fête continue » : Céline Dion rompt le silence pour cette occasion très spéciale. On vous raconte tout ici.
Alors que la quinquagénaire fait face à de sérieux soucis de santé, raison pour laquelle elle a d’ailleurs été contrainte d’annuler plusieurs dates de sa tournée, Céline Dion n’a pas manqué de se laisser aller à de rares confidences, elle rompt le silence pour une occasion très spéciale : « Que la fête continue », confie la célèbre diva.
Céline Dion brise le silence pour cette occasion très chère à son cœur.
Celle qui se bat toujours contre sa maladie a fait une exception pour l’anniversaire de l’un de ses plus vieux amis, Michel Drucker.
Ce dernier célébrera ses 80 ans le lundi 12 septembre prochain. Pour l’occasion, le magazine Paris Match est parti à la rencontre des proches du célèbre présentateur de Vivement Dimanche.
« Tu as connu, tu as reçu, aidé et aimé tout ce que le métier des arts et du spectacle a de meilleur. Tu as donné la chance à de jeunes débutants comme moi, de se faire connaître grâce à l’énorme pouvoir de diffusion et de promotion de tes émissions », se rappelle la veuve de René Angélil.
Céline Dion d’ensuite rajouter : « Tu es entré dans les cœurs par la petite fenêtre de l’audiovisuel, ils ne veulent plus, ne peuvent plus te laisser partir. Que la fête continue encore longtemps… Bon anniversaire cher Michel ! Je t’aime ».
Michel Drucker avait laissé sa chance à la jeune chanteuse qu’elle était, 40 ans plus tôt. « Retenez bien le nom de cette jeune fille, Céline Dion ! », déclarait-il face caméra.
Michel Drucker évoque ses relations avec Céline Dion.
Un coup de pouce qui a marqué à jamais l’interprète d’Encore Un Soir. « Elle s’est toujours montrée d’une grande générosité », confiait l’époux de Dany Saval auprès de la rédaction de Gala en mars dernier.
« Je suis allé les voir chez eux ( chez Céline Dion et son mari, René Angélil, NDLR), en Floride, à Las Vegas (…) J’ai même passé un Noël en tout petit comité dans leur château au Québec, où Céline m’a couvert de cadeaux sous le sapin. (…) J’étais si gêné », se souvient le Taulier de France 2.
Peu de temps avant sa mort, le papa de René-Charles, Eddy et Nelson lui avait même écrit une lettre dans laquelle il lui demandait de « veiller sur Céline lorsqu’elle viendrait à Paris ».