Ce conducteur ne s’attendait pas du tout à faire face à des réparations aussi coûteuses avec son SUV.
Quand l’embrayage d’un Duster lâche à 23 100 km, la note s’envole ! Retour sur cette mésaventure de Pierre M. On vous raconte tout.
Quand l’embrayage d’un Duster lâche à 23 100 km, la note s’envole !
Ce lecteur nanterrerien (92) d’Auto Plus, le magazine franco-allemand consacré à l’automobile, comme tant d’autres, a d’abord été séduit par l’attrait de la Dacia Duster.
À l’automne 2020, il a fait l’acquisition d’un tout nouveau modèle 1.3 TCe 130. Cependant, il lui a fallu un peu plus de deux ans pour regretter amèrement son achat.
En novembre dernier, le SUV est tombé en panne, il ne pouvait engager aucun engrenage. Après avoir appelé le fabricant, une dépanneuse a été envoyée et le problème a été temporairement résolu en repositionnant simplement la pédale d’embrayage.
Mais cela s’est avéré être une solution à court terme, car le véhicule a été immobilisé à nouveau dix jours plus tard.
Cette fois, Pierre était dans un endroit éloigné, et il a insisté pour que son Duster soit emmené à l’atelier Dacia le plus proche. Après deux semaines d’enquête, l’atelier a conclu que tout l’embrayage, y compris le volant d’inertie, devait être remplacé.
Le coût de la réparation s’est élevé à 2 629 €, ce qui a été un coup dur pour Pierre. Il n’était pas disposé à payer une telle somme, d’autant plus que son Duster n’avait parcouru que 23 100 km.
Dacia laisse son client avec la totalité de la facture à régler.
Il a demandé à son agent de demander à Dacia de contribuer au coût, mais la marque a catégoriquement refusé de payer ne serait-ce qu’une partie de la facture.
Pierre est en colère. Il est déterminé à faire plier le constructeur et est prêt à tout mettre en œuvre pour obtenir justice.
Malheureusement, sa confiance en Dacia a été gravement ébranlée après avoir perdu plusieurs semaines dans la résolution d’un problème bien connu sur cette génération de Duster.
Les éléments qui ont lâché auraient dû durer 150 000 km, mais le dépanneur n’a fait que le strict minimum, entraînant des retards considérables.
Maintenant, Pierre ne peut plus attendre. Il doit immédiatement mettre Dacia en demeure d’assumer l’intégralité de la panne.
Ni l’âge de son Duster, ni son kilométrage ne justifient que le constructeur roumain applique un taux de vétusté pour limiter sa participation financière.