Prime exceptionnelle : voici les Français qui vont bientôt recevoir ce montant inattendu sur leur compte bancaire ! Le point ici.
Qui sont concernés par la prime exceptionnelle de rentrée : voici les Français qui vont bientôt recevoir ce montant inattendu sur leur compte bancaire ! Plus de détails dans les prochaines lignes de notre article.
Qui vont pouvoir bénéficier de la prime exceptionnelle de rentrée versée très prochainement ?
Adoptée par le Parlement dans le cadre de la loi en faveur du pouvoir d’achat, la Prime inflation sera versée d’ici septembre 2022 comme promis par le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire.
Cette Prime exceptionnelle bénéficiera aux allocataires de minimas sociaux ( Aspa, AAH, RSA et APL), aux étudiants boursiers ainsi qu’aux travailleurs modestes, percevant la prime d’activité.
Si son versement est attendu en septembre 2022, aucune date exacte n’a encore pour l’heure, été précisée. Les modalités pratiques doivent toutefois encore être précisées par décret, d’ici les prochaines semaines.
Le montant de cette prime inflation 2022 s’élèvera à 100€ par foyer, et 50€ par enfant supplémentaire. Pour un ménage composé de deux adultes au RSA avec deux enfants à charge, cette aide s’élèvera donc à 200€.
Qu’en est-il pour les retraités ? Pourront-ils aussi toucher cette prime de rentrée ?
Quid des retraités ? Ces derniers pourront eux aussi, bénéficier de la prime inflation 2022, à condition de percevoir l’Aspa ( ex-minimum vieillesse).
Attention, cette prime de rentrée exceptionnelle n’est pas à confondre avec l’allocation de rentrée scolaire, versée depuis mardi 16 août dernier à plus de 3 millions de ménages.
Si vous ne l’avez pas encore reçu d’ici là, cela ne saura tarder. Les délais varient selon votre établissement bancaire.
Cette aide a pour but de soutenir les familles modestes à supporter le coût de la rentrée scolaire 2022 pour leurs enfants scolarisés âgés entre 6 à 18 ans.
Si un terrain d’entente a finalement été trouvé, la gauche ainsi que les acteurs associatifs avaient vivement réagi à l’amendement voté par le Sénat qui visait à remplacer la prime de rentrée exceptionnelle, « réservée aux minima sociaux », par une majoration de la prime d’activité, bénéficiant uniquement aux travailleurs modestes.