Pouvoir d’achat : Attention à vos salaires, vous pouvez être surpris ! La raison ? Parce que les saisies sur salaire sont de plus en plus fréquentes… Vous pourrez être pris au dépourvu.
Pouvoir d’achat : Attention à vos salaires, vous pouvez être surpris ! Cette période inflationniste favorise actuellement les saisies sur salaires qui ne cessent de se multiplier en France.
Pouvoir d’achat : mauvaise surprise pour les salariés, les saisies sur salaires se multiplient
Comme défini sur le site du service public, la saisie des rémunérations de son autre nom (partie du salaire et éventuellement autres revenus) « permet à une personne à qui le salarié doit de l’argent d’obtenir le versement de la somme qui lui est due ».
« L’employeur doit affecter une partie de la rémunération du salarié au remboursement du créancier ».
De ce fait, « le salarié ne reçoit qu’une partie de son salaire. Cette somme ne peut pas être inférieure au montant du solde bancaire insaisissable ».
« La somme retenue par l’employeur est calculée en fonction des revenus, mais un minimum vital de 575,52€ par mois ne peut pas être prélevé », rappelle franceinfo. Soit seulement 25€ de plus que si elles étaient sans emploi, inscrites au RSA.
Le média en a d’ailleurs récemment tiré la sonnette d’alarme. Cette situation ne fera qu’empirer la situation de certains foyers qui peinent déjà à joindre les deux bouts.
« Certains salariés, dont le budget est serré, ne parviennent plus à régler leurs factures »
Cela va plonger de nombreux salariés dans un endettement sans pareil, notamment à l’approche de la rentrée scolaire.
La hausse du prix des fournitures scolaires, la hausse du prix de la cantine,… Le prix de l’essence à la pompe, les prix des aliments de base dans les supermarchés… Tout est en train de s’envoler. Ce sont les plus bas revenus qui vont en pâtir.
Le pouvoir d’achat des Français dégringole. « Certains salariés, dont le budget est serré, ne parviennent plus à régler leurs factures », indique franceinfo.
Le gouvernement doit agir vite et regarder cette situation de plus près, sans quoi la France s’engage dans une course vers une crise économique sans précédent.