Plastic Bertrand, 69 ans, sans le sou ? Le chanteur fait des révélations explosives sur ses finances : « J’ai eu des gros soucis avec les impôts » !
« Je ne lui dois rien à ce monsieur » !
Plastic Bertrand ne chôme pas ! À l’aube de ses 70 printemps le 24 février à venir, le chanteur ne cède en rien à la vigueur du temps.
À peine la formidable tournée des Stars des années 80 terminée en mai dernier, il s’est lancé à corps perdu dans une série de concerts en Chine.
À présent, il réapparaît en force, sillonnant de nouveau les routes de France, accompagné de ses complices de toujours : Lio, Julie Pietri, Eve Angeli et Jean Schulteis.
Cet été, c’est dans les enceintes majestueuses d’une dizaine de châteaux à travers l’Hexagone que la troupe se produit.
Dans une entrevue exclusive accordée à Gala.fr, Plastic Bertrand s’est livré avec franchise sur ses tensions avec Lou Deprijck, qui « affirme être le véritable auteur de Ça plane pour moi, sorti il y a 46 ans ? »
« Ça a surtout été une polémique journalistique. Il y a eu deux procès pour déterminer l’auteur véritable de la chanson et c’est moi qui les ai gagnés. Je n’ai plus aucun rapport avec lui. Il a été mon producteur artistique pendant deux ans et ça fait 42 ans que je ne l’ai pas vu. Et je m’en porte très bien ! (…) Je ne lui dois rien à ce monsieur ».
Plastic Bertrand, 69 ans, sans le sou ? « J’ai eu des gros soucis avec les impôts »
Lors de son passage sur le plateau de Jordan de Luxe en 2020, Plastic Bertrand a révélé que ce morceau phare lui a généré près de 20 millions d’euros à l’époque alors qu’il n’avait que 23 ans.
Une somme qui comme l’aurait pensé nos confrères de Gala aurait pu aisément ébranler n’importe qui. Aurait-il fait exception ?
« J’étais entouré à priori des meilleurs avocats et des meilleurs fiscalistes et il s’est avéré que ce n’étaient pas les meilleurs du tout… J’ai eu des gros soucis avec les impôts, ça a été procès sur procès. J’ai eu du mal à m’en sortir« , se rappelle-t-il.
« Quand on gagne des sommes pareilles, on pète les plombs, c’est normal ».
« Évidemment, poursuit Plastic Bertrand, quand j’ai touché ces millions, j’ai un peu flambé. Quand on gagne des sommes pareilles, on pète les plombs, c’est normal. Ceci dit, j’ai eu deux enfants dans les années 1980 et j’ai très vite compris qu’il fallait que je revienne sur terre. Et heureusement j’ai continué à travailler« , conclut-il.