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Olivier Véran révèle son salaire net de ministre

Olivier Véran révèle son salaire net de ministre
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Olivier Véran révèle son salaire net de ministre, il risque fort bien de vous étonner ! Retour sur les confidences de l’actuel porte-parole du gouvernement.

L’ancien ministre de la Santé a décidé de jouer franc-jeu, Olivier Véran révèle son salaire net de ministre. « Je gagne… »

En marge de la promotion de Par-delà les vagues, publié aux éditions Robert Laffont, Olivier Véran, l’actuel porte-parole du gouvernement dévoile sans ambages auprès du Parisien, ce qu’il gagnait en sa qualité de Ministre.

Olivier Véran dévoile ses honoraires en tant que Ministre.

Ne voulant rien dissimuler aux Français, il a fait le bilan de son passage au ministère de la Santé dans Par-delà les vagues.

« Ce livre a vocation à ne rien cacher, y compris ce qui relève de l’intime. Pendant deux ans, j’ai vécu dans mon appartement de fonction, oui, à trente mètres de mon bureau au même étage. Pratique vu la période !« , faisait-il savoir ce mercredi 7 septembre dans le quotidien francilien.

« Un appart dans son jus, avec un lit à matelas orthopédique qui grince, des années 1980. Et une équipe aux petits soins« , complète-t-il.

« Comme tout ministre, confie-t-il, je paye mes factures, un loyer au ministère, et je gagne 6500 euros nets par mois après impôt ».

Olivier Véran au bord du « burn-out ».

Un salaire assez conséquent, mais bien mérité. N’ayant pas compté ses heures, Olivier Véran était au point de « touch[er] du doigt le burn-out ».

« Un matin, vers la fin de la première vague, entre un Conseil de défense et un Conseil des ministres, dans le parc de l’Élysée. J’ai eu des vertiges, de profondes nausées, les jambes qui flagellent », se rappelle-t-il.

Il n’y a rien de très surprenant au regard du rythme de travail éreintant qu’il avait d’antan. Force est de constater que la pandémie du Covid-19 ne lui a laissé aucun répit.

« À l’époque, je dormais trois heures par nuit, je sautais plein de repas, le stress était permanent », précisait-il.

« Puis j’ai regardé les arbres, j’ai soufflé et c’est reparti sur le coup. Ensuite, je me suis mis à la méditation, cela m’a beaucoup aidé« , poursuit le politique.

Dans son livre, il en a profité pour faire son mea culpa sur les masques et reconnaît qu’ils se sont « trompés ».