Durant ce grand événement de l’année, de nombreuses personnalités ont accepté de prendre la parole pour rendre un dernier hommage au défunt journaliste. Obsèques de Jean-Pierre Pernaut : effondré, cet animateur n’a pas réussi à faire son discours.
Depuis la mort de Jean-Pierre Pernant survenue le 2 mars 2022, l’émotion a atteint son paroxysme ce mercredi 9 mars. Réunis à la Basilique Sainte-Clotilde située au VIIe arrondissement de Paris, ses proches ainsi que tous les membres de sa famille n’ont pas caché leur tristesse. Obsèques de Jean-Pierre Pernaut : effondré, cet animateur n’a pas réussi à faire son discours.
« Nathalie nous a demandé de faire un discours. Je n’ai pas eu le courage de le faire« .
Les obsèques de Jean-Pierre Pernaut ont été marquées par la forte présence de plusieurs célébrités venant de la capitale parisienne elle-même. Si Karine Le Marchand, Evelyne Dhéliat ou encore Sylvie Tellier ont accepté de prendre la parole, ce n’est pas le cas pour les autres.
Il s’agit expressément de Bernard Montiel. Bouleversé par la perte de son grand ami, le chroniqueur de Touche pas à mon poste n’a pas eu la grande force nécessaire de monter sur scène.
« Nathalie nous a demandé de faire un discours, révélait-il. Je n’ai pas eu le courage de le faire, avouait l’animateur. Je n’ai pas voulu le faire, précisait-il. Je me sentais totalement incapable« , expliquait-il.
« On en a beaucoup parlé tous les deux« , confessait-il sur le plateau de Touche pas à mon poste. Bernard Montiel n’a pas manqué de saluer le courage et la bonne volonté de sa collègue Valérie Bénaïm. Celle-ci a en effet livré un remarquable message.
Avant d’entrer dans la bâtisse, Bernard Montiel a fait une bouleversante déclaration. « Je suis très triste, a-t-il déclaré. Je ne voulais même pas venir, avouait-il en effet. C’est toujours difficile« , a-t-il fait très bien mention.
« Les gens l’aimaient et ils avaient raison de l’aimer…«
En parlant du défunt, le chroniqueur de Cyril Hanouna reste très admiratif. « Il était très fédérateur, affirmait-il. Les gens l’aimaient et ils avaient raison de l’aimer. J’ai travaillé un peu avec lui. On apprend beaucoup avec des gens comme lui et il n’en reste pas beaucoup. »