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Nikos Aliagas : les médecins lui donnent « une semaine à vivre », ses confidences CHOCS sur sa maladie !

Nikos Aliagas : les médecins lui donnent une semaine à vivre, ses confidences CHOCS sur sa maladie !
© TF1

Les professionnels de la santé sont catégoriques, scellant de ce fait le destin de l’animateur emblématique de The Voice. Nikos Aliagas : les médecins lui donnent « une semaine à vivre », ses confidences CHOCS sur sa maladie !

Dans une récente entrevue accordée à la rédaction de l’hebdomadaire Psychologies, le présentateur vedette de TF1 a livré une confidence inédite sur son état de santé. Nikos Aliagas malade, les médecins lui donnent « une semaine à vivre ». Une épreuve très difficile et très douloureuse où ses proches ont déjà imaginé le pire scénario.

Nikos Aliagas, un véritable bourreau de travail…

Nikos Aliagas s’est familiarisé avec le monde du travail dès son jeune âge. Ce qui lui permet de surpasser toutes formes de pressions que son actuel métier d’animateur pourrait lui imposer.

« J’ai travaillé toute ma vie, débutait-il à juste titre. Il m’a fallu beaucoup de temps, se rappelait-il, pour partir en vacances sans culpabilité. Chez moi, poursuivait-il, on n’avait pas vraiment de loisirs, pas de grasse matinée« .

« À grand coups de pied au cul, racontait-il, on était réveillés, ma sœur Maria et moi, et on partait ainsi bosser dans l’atelier de mon papa. Ce dernier était, en réalité, tailleur« . Leur mère travaillait également avec lui.

« Pour mes parents, on n’était que de passage ici. Ce qui veut dire qu’il fallait pouvoir se payer le voyage du retour« . Une réalité qui justifie alors sa surprenante boulimie en matière de travail.

De gros problèmes de santé… Pour Nikos Aliagas !

Par la suite, Nikos Aliagas a évoqué ces moments très difficiles que sa famille a vécus dès le premier jour de sa naissance. Il naquit avec une terrible malformation.

« Je suis né mort, confessait-il. En fait, j’avais une grave malformation du duodénum, expliquait-il. Et on me donnait en conséquence une semaine à vivre« . Contre toute espérance, « une jeune chirurgienne m’a sauvé la vie, mais j’ai vécu beaucoup longtemps dans l’extrême douleur« .

En effet, « les deux premiers mois de ma vie, regrettait-il, je n’ai pas été en contact avec mes deux parents. On ne m’a enlevé mes fils, a-t-il fait bien mention, qu’à 2 ans. Aujourd’hui encore, rappelait Nikos Aliagas, à n’importe quel moment, s’il m’arrive ainsi quoi que ce soit, tout peut s’arrêter. En permanence, a-t-il bien précisé, je suis en survie« .