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Mort de Jane Birkin : cet énorme héritage qu’elle laisse à ses deux filles, Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon

Mort de Jane Birkin : cet énorme héritage quelle laisse à ses deux filles, Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon
Mort de Jane Birkin : cet énorme héritage qu'elle laisse à ses deux filles, Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon !-© Bestimage

Mort de Jane Birkin : cet énorme héritage qu’elle laisse à ses deux filles, Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon. Voici les détails.

« Jane Birkin s’en est allée après 16 ans d’une bataille acharnée contre la maladie. »

C’est ce dimanche 16 juillet dernier que la célèbre comédienne et chanteuse anglaise s’est éteinte à 76 ans. En effet, son corps a été découvert sans vie dans son appartement parisien.

« Jane Birkin s’en est allée après 16 ans d’une bataille acharnée contre la maladie. Depuis son AVC en septembre 2021, sa famille et le merveilleux personnels soignant ont été à ses côtés nuits et jours », indiquait le communiqué transmis à l’AFP.

« Depuis quelques jours, elle marchait de nouveau, était motivée de reprogrammer son Olympia et avait décidé de reprendre son indépendance. Ce premier soir seule, aura été le dernier. Elle l’avait décidé », pouvait-on lire.

Mort de Jane Birkin : cet énorme héritage qu’elle laisse à ses deux filles, Charlotte Gainsbourg et Lou Doillon

Jane Birkin laisse derrière elle un héritage conséquent à ses deux filles, ayant réussi à amasser un considérable patrimoine tout au long de sa vie. Selon Gala, l’icône possédait plusieurs résidences, parmi lesquelles une demeure à Paris et une autre en Bretagne.

La première résidence de Jane Birkin était située dans le 6ème arrondissement de la capitale, tandis que la seconde rapporte le magazine AD était sur la rive nord de l’Aber, plus précisément au manoir de Prat ar Coum. Ce dernier a depuis été revendu.

En plus de ses acquisitions immobilières, l’actrice britannique avait révélé avoir accumulé une fortune conséquente grâce à sa collaboration avec le réalisateur Claude Zidi, en jouant dans plusieurs de ses films.

J’ai pu acheter ma propre maison en Normandie, où nous allions le plus souvent possible pour ne pas subir le règlement de Serge ! Rue de Verneuil, c’était quand même comme vivre dans une galerie d’art. (…) Nous avions besoin de cette soupape, la rue de Verneuil était trop étouffante”, Confiait-elle à l’époque auprès du magazine Paris Match.