Mort de Charlotte Valandrey : sa lettre déchirante adressée à sa fille unique, Tara Lecaisne. Plus de détails dans nos prochaines lignes.
Mort de Charlotte Valandrey : sa lettre déchirante adressée à sa fille unique, Tara Lecaisne. La lettre en question avait été publiée ce 13 juillet dernier sur Instagram.
Mort de Charlotte Valandrey : sa lettre bouleversante à sa fille Tara
C’est dans la soirée du mercredi 13 juillet que Charlotte Valandrey s’est éteinte, du haut de ses 53 ans. La comédienne, qui a vécu avec le VIH sera inhumée dans un lieu très symbolique.
C’est en 2000 que Charlotte Valandrey était devenue l’heureuse maman de Tara, née de sa relation avec son ex-mari Arthur Lecaisne. Ses derniers mots à sa fille semble avoir été tiré de son livre N’oublie pas de m’aimer, publié en 2012.
« Tara, une divinité a soufflé ton prénom. Terre de Scarlett O’Hara. Mère de tous les bouddhas. Au nouveau millénaire, tu es tombée du ciel. En 2000 je fus mère, tu m’as redonné la vie », faisait-elle tendrement mention.
Celle-ci d’ensuite poursuivre : « Que ces mots à jamais remplissent nos silences. Qu’ils racontent à ton âme ce que je ne sais te dire. Qu’ils t’enlacent comme tes mots m’ont étreinte ce matin. ‘La meilleure des mamans’, la plus belle des enfants. »
« Bientôt tu seras grande, ma fille, ma récompense. Je crois en toi mon rêve dans un espoir immense. », rajoutait encore l’actrice de Demain nous appartient.
Imaginant au préalable sa disparition, Charlotte Valandrey a tenu à l’assurer qu’elle serait « toujours autour d[elle], à [s]on cou, par [s]es mains ».
« Je serai dans un rire, dans ton chant, jamais loin. Dans la nuit, sous la pluie ou par un grand soleil. Appelle-moi ma Louloute, je ne dors pas, je veille. Aime comme je t’aime mon ange, mon paradis », terminait-elle cette lettre bouleversante.
« Je suis très triste ce soir d’apprendre ton départ ».
Une déclaration qui ne manquait pas d’émouvoir nombreux de ses fans. Sa consœur Gwendoline Hamon n’a pas fait exception. Elle se souvient d’une personne « si forte et si sensible » qui « ne lâchai[t] rien ».
« Je suis très triste, confiait-elle en commentaires, ce soir d’apprendre ton départ. Toi, la battante, l’amoureuse de la vie, la maman si fière de sa fille. Je t’envoie mille baisers tendres et mon admiration à jamais ».