L’artiste de 75 ans se distingue toujours par son Franc-parler. Lorsqu’il fallait dire les choses telles qu’elles sont, il n’a jamais adopté le politiquement correct. Michel Sardou : le chanteur sur le point de nous quitter, ses confidences !
Dans une récente entrevue accordée à nos confrères du magazine Paris Match, le célèbre artiste français a surpris tout le monde. Michel Sardou : le chanteur sur le point de nous quitter, ses confidences. On vous explique tout dans les prochaines lignes.
« Ce qu’il dit, il ne le fait pas »
Actuellement, la comédie musicale dédiée aux plus grandes chansons de Michel Sardou fait, de plus en plus, salle comble. Une réalité que le chanteur ne semble pas tenir en considération.
Suite à son gros coup de gueule lors de son dernier passage chez Pascal Praud, il vient encore faire parler de lui. Pour cette fois-ci, Michel Sardou n’a pas pu éviter la politique, un milieu qu’il a abandonné depuis de nombreuses années.
Considéré par les observateurs comme un partisan de droite, le célèbre interprète de La Java de Broadway a confié avoir suivi avec la plus grande attention la toute dernière campagne présidentielle.
Toujours aussi cash, Michel Sardou estime qu’elle a été particulièrement « chiante ». Un avis qui ne plairait certainement au grand vainqueur de l’élection, Emmanuel Macron.
Il ne s’est pas arrêté là. Comme il fallait s’y attendre, il s’est attaqué directement au président de la République lui-même. « Ce qu’il dit, il ne le fait pas. C’est quand même emmerdant. Avec lui, tout se noie dans des tas de mots« , dénonçait-il. « On ne sait plus ce qu’il veut faire et pourtant on sort juste de la campagne« , ajoutait-il.
« S’il gagne, je me tire… »
Puis, le compagnon d’Anne-Marie Périer s’en est pris au chef de file de La France Insoumise. « Mélenchon est toujours dans les excès, déclarait-il. Maintenant, il se déclare Premier ministre… Attention, danger« , avertissait-il.
« S’il gagne, je me tire. Ou alors je déclare la Normandie duché et je mets des barrières partout« , poursuivait-il.
« S’il y a une chanson à faire sur la politique aujourd’hui, c’est : je n’y crois plus », a-t-il conclu.