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Michel Drucker : ses aveux fracassants sur ses problèmes de santé

Michel Drucker : ses aveux fracassants sur ses problèmes de santé
© TF1

Michel Drucker fait des aveux fracassants sur ses problèmes de santé. La rédaction d’Il est encore temps vous rapporte tout dans les détails.

Le « portrait de la semaine » a été consacré au mythique présentateur de Vivement Dimanche ce dimanche 23 janvier dans Sept à Huit. Découvrez les aveux fracassants de Michel Drucker sur ses problèmes de santé.

« J’ai été piégé » !

« On le dit inoxydable. A bientôt 80 ans, Michel Drucker n’entend pas raccrocher les gants. Pourtant il y a un an, il frôlait la mort : une bactérie dans le sang, une septicémie, une opération à cœur ouvert…Il est « Le Portrait de la Semaine » d’Audrey-Crespo Mara », est-il indiqué sur le compte Twitter de l’émission.

Le mari de Dany Saval s’est livré sans filtre après sa longue pause médiatique de plus de six mois. Sa descente aux enfers a commencé en septembre 2020 et a duré pendant des mois.

« J’ai toujours aimé la durée, que ce soit professionnellement, amoureusement, amicalement ou encore familialement. Mais pour ça, il faut que la santé dure, et là, j’ai été piégé« , déclarait Michel Drucker.

« J’étais persuadé que j’étais indestructible.« , racontait-il avec candeur. « Dans le métier, il y a des copains qui disent : ”Drucker, c’est Terminator… il ne lui arrivera jamais rien.” Il m’est quand même arrivé quelque chose de grave », confiait-elle à l’épouse de Thierry Ardisson.

Il ne pouvait s’empêcher de penser au pire. « Je ne veux pas me comparer à Molière, mais quand Dalida a chanté Mourir sur scène, je la comprends très très bien.« , indiquait-il.

« Sans mon métier, je ne me verrais pas vivre » !

Il a confessé avoir demandé aux médecins de le « débrancher » si jamais les choses tournaient mal durant son opération à cœur ouvert.

« Je ne pouvais pas supporter l’idée de refaire un métier public alors que j’étais handicapé. Pour moi, ma vie, c’est mon job », avouait-il avant de rajouter. « Si j’étais sorti diminué, handicapé sur le plan neurologique, sur le plan cérébral, pour moi, ce n’était pas jouable ».

« Quand on commence la télé à vingt-deux ans, même pas, et qu’on est encore là près de soixante ans après, ça veut dire qu’on a une vraie passion pour son job. Sans mon métier, je ne me verrais pas vivre. », concluait-il au final.