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Michel Drucker évoque sans tabou cette opération de chirurgie esthétique 

Michel Drucker évoque sans tabou cette opération de chirurgie esthétique 
© DR

Michel Drucker évoque sans tabou cette opération de chirurgie esthétique qu’il a faite. Les détails avec la rédaction d’Il est encore temps.

Alors qu’il se prépare à célébrer son 80ème printemps, Michel Drucker évoque sans tabou cette opération de chirurgie esthétique à laquelle il a succombé.

« J’ai retrouvé la pêche que j’avais il y a vingt-trente ans » !

C’est ce 12 septembre que l’animateur mythique de Vivement Dimanche soufflera ses 80 bougies. Un événement qu’il aborde avec quiétude maintenant que ses problèmes de santé sont bien derrière lui.

Après sa très longue convalescence, le Taulier de France 2 est bel et bien remis sur pied. Il faut croire qu’il est même plus en forme que jamais.

« J’ai retrouvé la pêche que j’avais il y a vingt-trente ans« , confiait-il dans Gala.

« Cet été, j’ai perdu 5 kilos en vue de mon seul-en-scène. J’ai parcouru 555 kilomètres à vélo, pratiqué la natation, fait des abdos. Gambergé aussi, beaucoup répété avec ma fille Stéfanie. Mais le bilan est très bon, mes constantes sont parfaites », poursuivait-il avant de rajouter avec humour :

« Je suis très en forme pour mes 4 fois 20 ans. Ça se voit, non ? »

Il a depuis le 28 août dernier, repris les manettes de son émission dominicale, désormais diffusée sur France 3. Infatigable comme il est, il ne compte pas s’arrêter là !

Michel Drucker révèle avoir succombé à la chirurgie esthétique.

Par ailleurs, Michel Drucker impressionne par son apparence physique. A 80 ans, il semble encore faire 20 de moins. Si le fait qu’il soit très sportif n’est pas nouveau, il n’a pas caché avoir eu recours à la chirurgie esthétique pour retoucher ses paupières.

« Je mets tout simplement des crèmes antirides exceptionnelles depuis des années. Tout est d’origine, ironisait-il. C’est génétique : mon père faisait quinze ans de moins, et puis j’ai fait beaucoup de sport toute ma vie », dévoilait-il.

« Mais je vais vous dire une chose, rajoutait-il. J’ai la gueule des métèques d’Europe centrale, avec des pommettes très hautes. Ça évite que le visage s’affaisse ».

Comme il l’a toujours dit, il n’envisage pas de prendre sa retraite aussitôt.

« La jeune génération va devoir compter sur moi encore un petit peu », prévenait Michel Drucker.

« Pour autant, je pense toujours à une phrase de Charles Aznavour : ‘Vieillir, évidemment, devenir vieux, pas question !’ Alors, indique-t-il, je m’entretiens pour être montrable. C’est ma seule limite. Je serais très peiné de rater la fin. De la lire dans la presse. De m’accrocher, de ne pas partir à temps ».