Météo France : Mauvaise nouvelle pour les vacanciers à cause d’un mois d’août pluvieux en prévision dans ces régions ! On vous détaille tout.
Météo France : Mauvaise nouvelle pour les vacanciers, un mois d’août pluvieux en prévision dans ces régions
Si les vacanciers s’attendent à des journées ensolleillées, le temps s’annonce plutôt maussade. Comme révélé par Météo France, la première semaine d’août s’annonce « pluvieuse ». Vos sorties à la plage risquent d’être gâchées !
« Actuellement, les températures sont à peu près de saison, mais dans les prochains jours, on va passer 3 à 5°C en dessous des normales de saison dans la moitié nord« , explique Jérome Cerisier, météorologue chez Weather Solutions.
« Il est probable qu’on ne dépasse pas les 20°C dans le Nord-Est et 25°C dans le reste de la partie nord. », ajoute-t-il.
« On a quelques signaux qui peuvent suggérer une première tendance au retour des normales de saison à la fin du mois« , estime tout de même le prévisionniste.
Une ambiance maussade est à prévoir sur la moitié nord de la France lors de la première quinzaine d’août.
Les Hauts-de-France, le Grand Est, la Bretagne, ainsi que la Normandie devront faire face à des conditions météo mitigées. Comme indiqué dans les colonnes de francetvinfo.fr, il vaudrait mieux « prévoir un pull et un parapluie » !
« Le temps sera instable. Sur la partie nord-est, on aura entre 70 et 90 mm de pluie, soit l’équivalent d’un mois de pluie, entre lundi et le début de la semaine suivante« , détaille Jérome Cerisier.
De « forts coups de vent » !
« Sur le reste de la partie nord, on aura plutôt 30 à 50 mm en une semaine, l’équivalent de 15 jours de précipitations normales. », continue le spécialiste. Dans la foulée, il alerte sur de « forts coups de vent mercredi et jeudi, en Bretagne et en Normandie ».
Ce climat maussade « devient quelque chose de notable, d’inhabituel« , poursuit le météorologue à franceinfo. Depuis la mi-mai, les températures en France métropolitaine ont été exceptionnellement élevées, dépassant presque sans interruption les moyennes historiques.