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« M’éteindre avec le sourire » : Florent Pagny évoque ses derniers instants face à la mort !

Méteindre avec le sourire : Florent Pagny évoque ses derniers instants face à la mort !
© France 2

Depuis de nombreux mois, le chanteur mène un combat très difficile contre le cancer. Malgré les résultats plutôt encourageants de ses traitements, l’issue reste incertaine. Ce qui le pousse parfois à se préparer au pire. « M’éteindre avec le sourire » : Florent Pagny évoque ses derniers instants face à la mort.

Le chanteur de 61 ans, frappé par un terrible cancer de poumon, vient de trancher sur la façon dont il souhaite quitter la Terre. Son plus grand « fantasme » c’est de parvenir à cette échéance loin de la maladie. Une condition qui garantira un décès serein, selon sa propre philosophie révélée par son titre « Après nous ». « M’éteindre avec le sourire » : Florent Pagny évoque ses derniers instants face à la mort.

« Ce cancer m’a réveillé en quelque sorte… »

Depuis l’annonce de son cancer de poumon, le 25 janvier 2022, Florent Pagny met toute sa confiance au lourd traitement basé sur la chimiothérapie. Un choix difficile, mais qui commence à porter ses fruits.

Quelques jours avant la grande finale de la dernière édition de The Voice, le compagnon d’Azucena, dans les colonnes de Gala, a fait une confidence inédite.

« Maintenant, je sors du tunnel, déclarait le papa d’l et Inca. J’ai quelques réponses qui me permettent de mieux évaluer la situation et ça ravive en moi certaines choses que j’ai un peu perdu, arrivé à mon âge« , poursuivait-il.

« Ce cancer m’a réveillé en quelque sorte, et il a redéfini le sens de mes priorités. Dès que mon protocole sera terminé, je passerai très rapidement à autre chose ! »

« Mal de cœur pendant douze jours, ça ne rigole plus »

Un protocole de traitement qui lui a coûté beaucoup. « Oui, j’ai connu cette période où tu n’as envie de rien, tu n’as pas la pêche, tu as le cœur au bord des lèvres, mais ça passe« , confessait-il.

« J’ai passé la chimio pure, celle qui castagne : mal de cœur pendant douze jours, ça ne rigole plus, a-t-il fait mention. Tu sais, le mal de mer que tu gardes alors que tu es sur la terre ferme depuis une semaine« , racontait-il.

Des douleurs qui lui ont probablement inspiré pour se préparer au pire des scenarii, la mort. Dans sa culture, les morts ne sont pas enterrés. Et l’artiste ne compte bien s’y soumettre. Son plus grand désir est de  » m’éteindre avec le sourire, pour me faire allumer sur le bûcher« .