Méfiez-vous de ce tout nouveau radar qui vous flashe et verbalise 2 fois ! On vous en dit plus dans nos prochaines lignes.
26 radars anti-freinage vont bientôt être installés en Espagne. Si le radar mobile retient une vitesse au-dessus de celle autorisée, en plus d’être verbalisé, le conducteur pourrait même recevoir une seconde contravention s’il ne lève pas le pied au radar fixe. Méfiez-vous de ce tout nouveau radar qui vous flashe et verbalise 2 fois !
Ces redoutables radars qui peuvent vous faire verbaliser jusqu’à 2 fois !
Les flashs des radars ont rapporté en 2019, près de 760 millions d’euros à l’État français. Ce chiffre pourrait être amené à évoluer ces prochaines années.
Après les radars fixes, les radars tourelles et les radars mobiles ont fait leur apparition dans l’Hexagone.
Les anti-freinage verront bientôt le jour en Espagne et ce, à partir du mois de juillet, comme l’a annoncé la direction générale du trafic espagnole. 26 radars seront installés sur les routes secondaires.
Si, au passage du radar mobile, le conducteur est au-dessus de la vitesse autorisée, et qu’il ralentit, et passe à la bonne vitesse au radar fixe, il sera tout de même verbalisé.
136 € et 2 points en France ?
Pour les automobilistes qui ne freineront pas… Ils vont recevoir deux verbalisations. La note peut vite grimper.
Si de tels radars sont adoptés en France, sur une route à 90, pour un excès de vitesse inférieur à 20 km/h, l’automobiliste flashé 2 fois recevrait deux amendes de 68 €, et perdrait 2 points sur son permis de conduire.
Si les amendes ne sont pas réglées dans le mois qui suit, la majoration grimpe à 150€. Ceux qui se font flasher par les deux radars, et qui mettent du temps à payer, cela pourra coûter 300 € et 2 points sur le permis.
L’alternative des radars anti-freinage est similaire aux radars tronçons, qui contraignent les automobilistes à rester à la vitesse autorisée sur une portion de route.
On ne sait pas si ces nouveaux radars arriveront en France ou pas, mais l’idée de pouvoir amasser un peu plus d’argent et de réduire la mortalité routière pourrait bien pousser le gouvernement à s’y intéresser.