Marie-Sophie Lacarrau attaquée pour son JT de 13H, elle ne mâche pas ses mots

Marie-Sophie Lacarrau attaquée pour son JT de 13H, elle ne mâche pas ses mots
Marie-Sophie Lacarrau attaquée pour son JT de 13H, elle ne mâche pas ses mots !-© Bestimage

Marie-Sophie Lacarrau réplique avec fermeté aux critiques portées sur son JT de 13H. Retour sur cette interview accordée par la journaliste de 48 ans pour Télé Magazine. L’équipe rédactionnelle d’Il Est Encore Temps vous rapporte tout dans les prochaines lignes de cet article.

Marie-Sophie Lacarrau fière de son travail et de son équipe au 13h.

Cela fera bientôt trois ans que Marie-Sophie Lacarrau a pris les rênes du 13 heures de TF1.

« J’ai vite pris énormément de plaisir, et ça continue, confessait-elle durant cet entretien. Je me réjouis chaque matin d’entendre mon réveil sonner à 6 heures(…) Je me régale à penser ce journal, à l’écrire et à le porter à l’antenne », confiait la maman de Tim et Malo auprès de Télé Magazine.

« On parle beaucoup avec nos correspondants régionaux, car le journal est tourné vers les territoires, détaille-t-elle. Ils sont nos yeux et nos oreilles, on peut leur faire confiance. C’est un journal miroir », poursuit celle qui officiait avant cette aventure au 13h de France 2.

Marie-Sophie Lacarrau attaquée pour son JT de 13H, elle ne mâche pas ses mots

Marie-Sophie Lacarrau ne fait pas l’unanimité à l’antenne. Elle fait l’objet de beaucoup de critiques concernant son 13h. Invitée à y répondre, l’épouse de Pierre Bascoul a répondu cash.

« Je ne comprends pas ces remarques ! Je n’ai pas cherché à dynamiter l’héritage que je respecte profondément, mais on a fait évoluer ce journal avec de nouveaux formats. Ce ne serait pas du journalisme ? Mais que fait-on alors ? », réagit-elle.

« Quand je vois notre belle rentrée, la meilleure depuis 2019 avec en moyenne 4,5 millions de téléspectateurs, je pense que si on ne se renouvelait pas, on n’obtiendrait pas de tels scores !« , assurait Marie-Sophie Lacarrau qui reconnaît au passage, être bien rémunérée.

« Je suis une privilégiée et j’en suis consciente », indiquait-elle sans filtre au sujet de son salaire.