« Ma mère est morte il y a 1 an, je me suis retrouvée avec 8 millions de dettes » : confidences CHOCS de Caroline Margeridon, célèbre acheteuse d’Affaire conclue.
« Ma mère est morte il y a 1 an, je me suis retrouvée avec 8 millions de dettes » : confidences CHOCS de Caroline Margeridon (Affaire conclue) auprès du magazine Gala. L’emblématique acheteuse de l’émission d’enchères de Sophie Davant évoque sans tabou, ses relations très compliquées avec ses parents.
« Je me suis retrouvée avec 8 millions de dettes pour lui éviter la banqueroute »
Si la célèbre brocanteuse tient sa passion de sa mère, elle révèle ne pas lui avoir adressé la parole depuis ses 22 ans.
Elle était « collée à elle, comme une moule à son rocher », indiquait-elle. La maman de Victoire et d’Alexandre avait même « arrêté l’école pour la suivre sur les marchés ». Cette relation fusionnelle, elle ne l’avait jamais connue avec son père.
« Il y a un truc que je déteste par-dessus tout, c’est l’hypocrisie et nous, à l’extérieur, on passait pour la famille idéale avec les Jaguar, la maison à Deauville, les chevaux de polo, mais à la maison, c’était l’enfer. », Se rappelait Caroline Margeridon.
« Mon seul souvenir d’enfance, c’est quand je m’enfermais dans ma chambre pour ne plus entendre leurs disputes incessantes. C’est peut-être pourquoi, dès le début, indique la star de France 2, je n’ai pas aimé mon père. »
« Ma mère est morte il y a un an. La dernière fois que je l’ai vue, j’avais 22 ans et je vais en avoir 56″, poursuit la quinquagénaire.
L’addiction de sa mère a eu raison de leur relation. « Elle était joueuse, comme sa propre mère. Je me suis retrouvée avec 8 millions de dettes pour lui éviter la banqueroute », révélait-elle sans fards.
« Un jour, il a fallu que je coupe le cordon. Je suis comme un compteur électrique, j’ai des fusibles, ça s’appelle de la sauvegarde », estimait l’ennemie jurée de Pierre-Jean Chalençon.
« Ma mère a demandé à me voir avant de mourir, comme mon père deux ans plus tôt, j’ai refusé. Je ne sais pas pardonner«
Caroline Margeridon est partie faire sa vie très jeune, loin de ses parents, sans rien les demander.
« Ma mère a demandé à me voir avant de mourir, comme mon père deux ans plus tôt, j’ai refusé. Je ne sais pas pardonner«, indiquait l’antiquaire.
« Quand ils sont morts, je n’ai pas voulu entendre parler de leur héritage. Je n’ai rien voulu(…) C’est de la survie. Je n’ai pas les moyens, ni l’envie d’être malheureuse. »