Avec plus de 100 victoires, Stéphane rejoint le rang des meilleurs champions de midi des 12 coups de midi sur TF1. Lundi dernier, le candidat de 50 ans a déclaré à Télé-Loisirs que l’ouvrier pouvait compter sur le soutien de son patron.
« J’ai la chance d’avoir des patrons conciliants »
Il n’arrête pas de gagner. Auprès de Télé-Loisirs, lundi 28 novembre 2022, le père de deux enfants a évoqué son rapport avec sa hiérarchie et sur l’impact de sa participation au jeu télévisé sur son travail.
En effet, il a déclaré : « J’ai la chance d’avoir des patrons conciliants. J’avais déjà alerté mes chefs que je pratiquais des jeux télévisés et que je pouvais être amené à être absent ». Ce, avant de souligner avoir d’abord demandé des congés. Ensuite, il a basculé en congé sans solde. Un manque de rémunération qui ne devrait pas lui causer de soucis financiers. En effet, son impressionnante culture générale lui a permis d’empocher plus de 400 000 € et de nombreux cadeaux comme des voitures, de l’électroménager et des produits high-tech.
Les 12 coups de midi : les collègues de Stéphane sont fiers de lui
Le succès de Stéphane a suscité la sympathie du public et de ses patrons, émission après émission. Ces derniers seraient également « très contents » lorsque leur employé bat ses adversaires tous les jours grâce à sa richesse en connaissances. « Comme j’ai explosé dans ce programme et que je suis reconnu, mes patrons n’ont plus aucun problème ! », a-t-il confié à Télé-Loisirs. Pourtant, il prétend être dans une position potentiellement instable.
D’après lui, « ils pourraient très bien me renvoyer ou m’imposer d’arrêter le jeu, ce qu’ils ne font pas ». Cependant, ses multiples participations dans le programme de TF1 lui ont valu une certaine notoriété à Éclaron, dans le Grand Est, où il vit. Le Maître de midi a aussi reçu l’admiration de ses collègues qui sont fiers de le voir représenter ainsi leur profession. « Ils sont super fiers de moi », avait lancé le champion dans l’émission du 14 novembre 2022, content d’être devenu « une tête de file du monde ouvrier ».