Le prince Albert, son premier Noël sans Charlène de Monaco, Camille Gottlieb balance les photos de famille et donne un aperçu de la fête.
En l’absence de la princesse Charlène de Monaco, la famille princière de Monaco a célébré Noël en grande pompe. C’est la seconde fille de la princesse Stéphanie de Monaco qui s’est chargée de partager une vidéo de l’endroit où s’est déroulée la fête. Le prince Albert, son premier Noël sans Charlène de Monaco, Camille Gottlieb donne « un aperçu ».
» Pour préserver les jumeaux et leur donner un semblant de vie de famille, Albert pourrait se résoudre à aller fêter Noël avec les enfants dans la clinique où Charlène est actuellement soignée »
Celle qui a une ressemblance flagrante avec la regrettée Princesse Grace, sa grand-mère, s’est emparée de son compte Instagram pour partager une vidéo de la table de Noël. Cette dernière a pris soin de ne dévoiler aucun visage.
Personne ne sait si le prince Albert était oui ou non de la soirée.
Comme indiqué par le magazine Closer, le prince souverain du Rocher devait mettre le cap sur la Suisse avec ses adorables jumeaux de 7 ans ( ils viennent à peine de célébrer leur anniversaire le vendredi 10 décembre dernier, NDLR), Jacques et Gabriella.
Ils sont supposés rejoindre Charlène de Monaco pour les réveillons.
«Il se murmure dans l’entourage du prince que, pour préserver les jumeaux et leur donner un semblant de vie de famille, Albert pourrait se résoudre à aller fêter Noël avec les enfants dans la clinique où Charlène est actuellement soignée », glisse l’hebdo, souvent bien informé.
« Pour sauver ce qui peut encore l’être, pourrait-on dire… En attendant des jours meilleurs » !
Nos confrères du magazine Closer ne précisent pas pour autant la maladie dont l’ancienne nageuse olympique est présumée souffrir. Selon la version officielle, la Première dame monégasque souffre d’épuisement physique et mental.
L’objectif est surtout de permettre aux membres de la famille princière de se « serrer dans les bras en ce jour aussi important », est-il indiqué.
« Pour sauver ce qui peut encore l’être, pourrait-on dire… En attendant des jours meilleurs », peut-on encore lire.