Le prince Albert paye-t-il sa femme Charlène de Monaco pour rester ? Voici la réaction cash de ses proches ! Le point dans notre article.
Beaucoup de choses se racontent sur le couple princier monégasque. Les rumeurs portant sur des problèmes conjugaux entre eux n’en finissent pas. Le prince Albert paye sa femme Charlène de Monaco pour rester, des proches réagissent et mettent le point sur le « i ».
Charlène de Monaco a « un contrat de mariage généreux »
L’ancienne nageuse professionnelle Sud-africaine toucherait selon les informations du magazine Voici, la coquette somme de 12 millions d’euros/an rien que pour rester aux côtés de son époux.
Des folles rumeurs qui ont poussé des proches du couple à réagir à cette information dans Page Six, afin de démentir cette information.
« Bien sûr, elle a un contrat de mariage généreux, mais Albert n’a pas à la payer pour rester. », mettait au clair une source proche de la princesse de 44 ans.
La source en question en a profité pour rappeler le bonheur de la Première dame monégasque de pouvoir enfin, être auprès des siens, après avoir vécu de si longs mois, loin d’eux.
« Après avoir été absente pendant si longtemps pendant sa maladie, Charlène est si heureuse d’être de retour avec Albert et les enfants. Ils passent tous les week-ends dans leur maison de campagne. Albert soutient pleinement Charlène et l’aide également avec ses oeuvres caritatives« , a-t-il été révélé.
Cette très réjouissante nouvelle pour Charlène de Monaco.
Alors qu’elle était en Suisse en vue de se reposer, la fille de Lynette et Michael Wittstock est revenue sur le Rocher et est déjà apparue à trois reprises aux côtés du souverain et de leurs jumeaux Jacques et Gabriella, durant des évènements officiels.
Les choses semblent avoir enfin repris son cours… Habituée aux nombreuses déconvenues, Charlène de Monaco a récemment eu la joie de recevoir une très réjouissante nouvelle.
Son frère Gareth Wittstock, dont elle est très proche, vient d’obtenir la nationalité monégasque. De quoi lui faire retrouver le sourire et d’autant plus de forces, plus particulièrement maintenant qu’elle en a clairement le plus besoin.