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Le calendrier scolaire 2022-2023 provoque la colère des élèves et des parents

Le calendrier scolaire 2022-2023 provoque la colère des élèves et des parents
© Pixabay

Le calendrier scolaire 2022-2023 provoque la colère des élèves et des parents. Découvrez pourquoi à travers notre article.

Le calendrier scolaire de l’année prochaine ne semble pas convenir aux parents, notamment du côté de la zone A. Le calendrier scolaire 2022-2023 provoque la colère des élèves et des parents.

Le nouveau calendrier scolaire est contesté par les parents d’élèves. On vous dit pourquoi !

Ce mardi 28 juin, est publiée la note ministérielle portant sur l’organisation du calendrier 2022-2022. A peine annoncé, le calendrier scolaire de l’année prochaine est d’ores et déjà contesté par les parents de la zone A. La raison ? Les dates de vacances leur paraissent incohérentes.

Pour la prochaine rentrée, le département de l’éducation nationale a opté pour slogan : « Tous pour une école de qualité au profit de tous ».

Pour Besançon, Bordeaux, Dijon, Limoges, Clermont-Ferrand, Lyon ou encore Poitiers, les élèves ne seront en effet en classe que le temps de quatre semaines et demie entre les vacances de Noël et d’hiver (en février).

Une période de cours jugées trop courtes par les parents. Ils ne sont pas les seules à être surpris de cette décision. Les enseignants tout comme les professeurs des écoles n’y comprennent rien.

La période d’apprentissage comprise entre les vacances de Pâques et d’été, ne sera quant à elle, que de dix semaines.

Les écarts entre les différentes périodes de classes sont loin de plaire aux parents qui n’ont d’ailleurs pas hésité à le faire savoir.

Un seul pont de prévu pour 2023.

Un seul pont est prévu pour l’année prochaine, celui de l’Ascension qui se tiendra le vendredi 19 mai 2023. Des détails qui ne font grandir qu’un agacement général.

Pour 2023, la fin des cours aura lieu le samedi 8 juillet. Sachant que les périodes de fortes chaleurs surviennent de plus en plus tôt chaque année, la possibilité d’avancer le début des vacances estivales est fortement plébiscitée par les parents ainsi que le corps enseignant.

« Plus on avance dans l’année, plus il fait chaud. Déjà, ils prévoient 35° un 18 mai, alors un 8 juillet, je n’imagine pas la chaleur en classe », témoigne une enseignante.

Une proposition potentiellement validée pour le calendrier scolaire 2023/2024 ? Rien n’est sûr. Il va falloir s’armer de patience pour connaître le verdict.