Asphyxiée par l’énorme dette laissée par son défunt mari, elle doit encore faire face à une situation qui ne fera qu’aggraver son cas. Laeticia Hallyday : cette nouvelle défaite face au fisc. Tous les détails dans les prochaines lignes.
Encore un coup dur pour la maman de Jade et Joy Hallyday. Le Conseil d’État vient de rétablir un redressement fiscal à hauteur de 471.780 euros en se référant sur les bénéfices de la grande tournée M’arrêter là (de 2009 et 2010) de Johnny Hallyday. Laeticia Hallyday : cette nouvelle défaite face au fisc.
Le plus gros regret de Laeticia Hallyday
En héritant tous les biens et toutes les œuvres du regretté rockeur, Laeticia Hallyday devait, tant bien que mal, honorer ses grosses dettes fiscales.
Depuis la première année de sa disparition, ces dettes sont chiffrées entre 30 et 34 millions d’euros. Une somme colossale que la belle blonde s’était toujours battue pour avoir la faveur de l’institution fiscale française. Une bataille sans réel succès.
Au contraire, la belle-mère de Laura Smet et David Hallyday vient de subir un nouveau redressement de 471.780 euros. Une décision prise par l’autorité fiscale en découvrant ces mystérieuses transactions financières sur trois sociétés de Johnny Hallyday. Une opération effectuée entre 2010 et 2011.
De l’argent tiré directement des gros bénéfices générés par la grande tournée M’arrêter là mentionnée précédemment. Une transaction envoyée au principal actionnaire appelée la SARL Navajo.
Mais une chose est sûre, cette société est enregistrée au nom du papa de David Hallyday, Laura Smet, et Jade et Joy. Par la suite, la même SARL Navajo reverse, à la même période, 2,1 millions d’euros à une autre société civile appelée SCI SLJ, dont 99,9% des actions appartiennent à Johnny.
En réalité, cette SCI SLJ détient trois grosses propriétés de la famille Hallyday, plus particulièrement la belle villa de Marnes-la-Coquette. Au lendemain de la première transaction, la SCI SLJ a aussi reversé 2,1 millions d’euros au regretté idole des jeunes.
Ce silence très inquiétant des avocats de Laeticia Hallyday…
Même si les avocats du clan Johnny ont expliqué que les 2,1 millions d’euros versés par la SARL Navajo à la SCI SLJ mais aussi au chanteur n’étaient rien d’autres que des prêts non imposables, le fisc a mis des réserves. Contactés par la rédaction, ces avocats n’ont pas souhaité commenter…