La patronne d’une société poursuivie par la justice pour arnaque au chômage partiel… Voici plus de détails.
La patronne d’une société poursuivie par la justice pour arnaque au chômage partiel. Cette dernière a été récemment coincée par la direction des finances publiques et la police pour avoir perçu de façon indue des aides « covid » bien que sa société n’ait plus aucune activité depuis des années. La rédaction d’Il est encore temps vous en dit plus dans les prochaines lignes de notre article.
Plus de 20 milliards escroqués selon la Direction générale des finances publiques
Depuis le début de la crise sanitaire, le ministère des finances estime le montant des escroqueries au chômage partiel à plus de 20 milliards. La DGFIP (Direction générale des finances publiques) s’échine aujourd’hui à récupérer tout cet argent.
Le 3 mars dernier, l’organisme informe que la police toulousaine a démasqué une femme de 41 ans, dirigeante d’une PME locale qui s’avère ne plus être en activité.
Comme par miracle, la société en question ressuscite en pleine pandémie et bénéficie alors du chômage partiel.
Le 23 mars dernier, la patronne de la société s’est rendue au commissariat avec son avocat pour être auditionnée. Pour sa défense, la dirigeante a livré un scénario quelque peu rocambolesque aux enquêteurs.
Une personne qui donnait l’air d’être un cadre supérieur se serait présentée à son domicile et lui aurait suggéré de récupérer de l’argent en arnaquant l’administration.
Et comme par enchantement, elle reçoit 16 500 euros sur son compte sans avoir levé le petit doigt… La DGFIP lui avait sommé, de rembourser la somme indiquée.
La patronne d’une société convoquée ce 12 septembre dans le cadre d’une CRPC.
Quelques jours avant l’audition devant la police, la quadragénaire avait étrangement déjà établi un plan de remboursement. Elle s’est engagée préalablement à rembourser toutes ces sommes.
Pour informations, elle est convoquée ce 12 septembre dans le cadre d’une CRPC (reconnaissance préalable de culpabilité).
Affaire à suivre…