La fin de l’aide exceptionnelle pour le chèque énergie est confirmée. Découvrez plus de détails dans nos lignes qui suivent…
La fin de l’aide exceptionnelle pour le chèque énergie est confirmée
Cela fait des années que le chèque énergie a bénéficié à de nombreux ménages français.
Ce coup de pouce permet aux foyers de réduire le montant de leurs factures énergétiques, que ce soit pour l’électricité, le gaz, et plus encore. De plus, il est utilisé pour financer certains travaux de rénovation.
Mais il arrive que cette aide très attendue des personnes éligibles pourrait bien disparaître.
Une annonce faite le mois dernier laisse effectivement planer le doute quant à la pérennité de cette aide. La question qui se pose maintenant est : va-t-on réellement vers la fin de cette aide du gouvernement ? L’équipe rédactionnelle d’Il Est Encore Temps vous fait le point sur la question.
« On va mettre fin à cette politique des chèques exceptionnels », déclarait Gabriel Attal, alors ministre délégué chargé des Comptes publics. Cela sous-entend-t-il la fin du chèque énergie pour les près de six millions de ménages éligibles.
« Dès lors qu’on doit faire des économies, il faut notamment sortir des dispositifs spécifiques qu’on a mis en place pendant la crise de l’inflation, se justifiait-il. C’est notamment la politique des chèques exceptionnels, on va mettre fin à cette politique des chèques exceptionnels qu’on a pu mettre en place sur tels sujets pour telle catégorie de Français », poursuivait Gabriel Attal.
Bercy confirme…
La fin du bouclier tarifaire en fait déjà partie. Néanmoins, rassurez-vous. Cette mesure ne se fera pas du jour au lendemain.
De plus, comme confirmé par Bercy à nos confrères de Merci pour l’info, « Il parlait juste des chèques exceptionnels ».
Bonne nouvelle donc ! Les 6 millions de ménages modestes continueront ainsi à toucher leurs chèques énergies. Aujourd’hui, les ménages en ont plus que jamais besoin, surtout avec la hausse de 10 % du tarif de l’électricité.
« Cette hausse est historique d’autant qu’elle intervient après deux augmentations successives de 4 % en 2022 et de 15 % en début d’année 2023 », précisent Les Échos.