Les propos inacceptables de Denis Brogniart dans Koh-Lanta envers Julie scandalisent les internautes. On vous raconte tout dans nos prochaines lignes.
Koh-Lanta : les propos inacceptables de Denis Brogniart envers Julie scandalisent les internautes
Et ils ne sont plus que trois ! Le 6 juin dernier, lors de l’épreuve d’orientation de Koh-Lanta, le Feu sacré, Julie n’a malheureusement pas réussi à se qualifier.
À l’approche de l’emblématique épreuve des poteaux, la fatigue et le stress sont au rendez-vous, rendant cette phase du jeu de survie particulièrement difficile.
Nicolas s’en est le mieux sorti en trouvant son poignard en 40 minutes seulement. Tania s’est ensuite qualifiée en deuxième (non sans efforts), suivi de Frédéric.
Avant de quitter l’aventure, Julie a assisté au briefing de fin d’émission, où Denis Brogniart lui a adressé des remarques peu amènes. Ces commentaires ont suscité l’indignation des internautes. En effet, le présentateur n’a pas mâché ses mots à son égard.
« Comment peut-on expliquer que vous ayez passé autant de temps sans finalement trouver grand-chose ? » lui demande cash Denis Brogniart.
« La course d’orientation, je savais que ce n’était pas mon fort. Je suis moins stressée en fait, parce que je sais que j’ai été mauvaise. », lui répond Julie. Ce à quoi le quinquagénaire n’a pas manqué de confirmer : « Eh oui ! »
« La répartie qui pique » !
Beaucoup ont été choqués par le manque de tact du mari de Hortense. D’ailleurs, ils ne se sont pas faits prier pour lui faire part le fond de leurs pensées. Mais « c’est un fou », s’insurgeait l’un des internautes, visiblement choqué par l’animateur vedette de TF1.
« Denis qui dit clair et net à Julie que vous avez passe tout votre temps dans la forêt en faisant pas grand chose il a dit les termes », ajoute un autre.
« Denis c’est pas le couteau qu’il enfonce dans la plaie de Julie c’est le poignard là », « Julie qui dit qu’elle a était mauvaise, Denis qui enfonce le clou » Mais oui ! » sympa ce Denis », « Denis il est trop violent dans ses propos« , « La répartie qui pique », pouvait-on lire.