Jeudi dernier, on a pu assister à une interview de Caroline Lebar chez nos confrères de Gala avec la responsable de la communication de la marque Karl Lagerfeld. Lors de cet entretien, elle évoquait sa collaboration avec le créateur de mode. Une relation caractérisée par des secrets…
Le décès de Karl Lagerfeld en 2019
Karl Lagerfeld a fait parler de lui dans l’industrie de la mode de son vivant. Hélas, le 19 février 2019, le créateur est décédé. Surnommé « Le Kaiser », il a rendu son dernier souffle à l’hôpital américain de Neuilly-sur-Seine, après avoir été admis aux urgences la veille de sa disparition. Sachez qu’il a mené un rude combat contre le cancer du pancréas pendant plusieurs mois. Pourtant, peu de gens étaient au courant de sa maladie.
D’ailleurs, Caroline Lebar, responsable de la communication de la marque Karl Lagerfeld, n’a appris sa maladie qu’après sa mort. C’est pourquoi, dit-elle, que le grand couturier aimait jouer avec son image d’immortel : « La dernière année, je l’ai vu souffrir d’un lumbago, de maux de dents, d’épanchements. Mais Karl interdisait qu’on le ménage. Il refusait de montrer sa fatigue ».
Il aimait se contrôler
Si sa collaboratrice Caroline Lebar a trouvé une certaine forme de contrôle avec Karl Lagerfeld dans les derniers instants, elle n’est clairement pas la seule. En fait, Carla Bruni l’a aussi ressenti. Rappelons que la compagne de Nicolas Sarkozy a longtemps côtoyé le créateur, surtout quand elle faisait des défilés : « J’ai beaucoup, beaucoup, beaucoup travaillé, défilé et posé pour lui ».
Carla Bruni s’était rapidement étalée à ce propos. Elle a notamment mentionné que Karl Lagerfeld aimait se contrôler. Et ne pas se perdre la tête : « C’est horrible, je déteste ça, ce sont des conneries. Oui, il n’aimait pas ça ! Il aimait se contrôler ». Un autre témoignage de la façon dont un célèbre designer détestait être faible devant des gens qu’il admirait.
L’hommage de Carla Bruni à Karl Lagerfeld
À la mort de Karl Lagerfeld, Carla Bruni lui a rendu hommage. En effet, sur les réseaux sociaux, elle a écrit : « Merci d’avoir apporté tant de beauté et de légèreté dans ce monde si lourd, tant de couleurs dans cette grisaille, tant d’esprit dans cette époque éteinte. Je crois que vous n’auriez pas aimé trop de larmes, trop de fleurs ou de couronnes, mais vous allez beaucoup manquer. À moi comme au monde entier ».