L’homme aux lunettes bleues n’a pas encore arrêté définitivement l’émission d’enchères de France 2. Jusqu’à preuve du contraire, il continue à amuser les fans de la chaîne publique. Julien Cohen contraint d’acheter un objet suite à « une vraie boulette ».
De retour à l’antenne ce mercredi 6 avril 2022, le meilleur copain de Pierre-Jean Chalençon s’est retrouvé, une fois de plus, dans une situation très embarrassante en plein direct sur le plateau. Une grosse erreur qui lui a coûté extrêmement cher. Julien Cohen contraint d’acheter un objet suite à « une vraie boulette ».
« Tu as fait tomber ça et tu l’as remis… »
Affaire conclue a passé une longue semaine, très riche en rebondissements. Pour ce mercredi 6 avril, l’antiquaire aux lunettes très colorées et ses nombreux collègues ont accueilli, en salle de ventes, un tout nouveau vendeur appelé René.
En débarquant sur les lieux avec une somptueuse carafe fabriquée à base de porcelaine, René a attiré tous les regards. D’entrée de jeu, Caroline Margeridon s’est précipitée avec cet objet rare, pour 600 €.
Une somme relativement basse par rapport aux attentes du candidat. La marchandise a été estimée, après expertise, à 700 euros. En ce moment précis, Julien Cohen s’est emparé de cet objet… et commet l’irréparable. Il en a cassé, par maladresse, un morceau.
L’œil averti de la meilleure copine de Sophie Davant n’a pas manqué de le blâmer. « J’ai vu ta tête, affirmait-il. Tu as fait tomber ça et tu l’as remis« , balançait-elle tout en montrant du doigt le morceau qui s’était accidentellement détaché.
La célèbre acheteuse d’Affaire conclue l’avait, par la suite, forcé à acheter l’objet qu’il a abîmé. La tête entre les mains, Julien Cohen a sorti les 620 euros pour cette belle carafe endommagée. Ce qui n’a pas empêché René de quitter l’émission d’enchère de la chaîne publique avec le sourire aux lèvres.
« Ce n’est pas une maladresse, c’est une vraie boulette »
Ce n’étaient les 700 euros qu’il espérait tant toucher, mais c’est mieux que rien. « Ce n’est pas une maladresse, c’est une vraie boulette« , reconnaissait à regret Julien Cohen.
En fait, « je n’avais pas spécialement envie de l’acheter, et je suis contraint de l’acheter » ajoutait vers la fin le malheureux acheteur du jour, tout en regrettant son geste. Mais le mal est déjà fait et la règle ne joue pas d’ailleurs en sa faveur… Celui ou celle qui casse, paie.