Divorcé très récemment d’Alexandre, l’ancien protégé de Karine Le Marchand tente de gérer, tant bien que mal, son gros souci de santé. « Je peux mourir demain » : Mathieu (ADP) souffrant. Découvrez tous les détails dans les prochaines lignes.
Interrogé par Jordan de Luxe sur les coulisses de son divorce ce mercredi 14 septembre, l’éleveur de taureau s’est arrêté longuement sur son histoire d’amour avec son ex. L’occasion également pour lui d’apporter des nouvelles sur son combat quotidien contre sa maladie incurable. « Je peux mourir demain » : Mathieu (ADP) souffrant…
« Je n’ai plus peur de rien. Je vis à fond »
Le meilleur copain de Karine Le Marchand souffre, depuis de nombreuses années, d’une maladie dont il n’existe pas, jusqu’à ce jour, de « traitement ». Une triste réalité qui contraint l’ancien candidat de l’Amour est dans le pré de vivre au jour le jour.
« C’est en apprenant que j’étais malade que je me suis donc inscrit au programme L’Amour est dans le pré (…), a-t-il débuté. Puis, il enlève toutes les peurs, assurait-il, avant d’ajouter : du coup, je n’ai plus peur de rien. Je vis à fond », a-t-il précisé par la suite.
Par ailleurs, « j’ai arrêté de fumer il y a maintenant neuf jours. La seule chose qu’on sait de cette terrible maladie, expliquait Mathieu, c’est qu’il ne faut plus fumer ». Conscient ainsi qu’il peut « mourir demain », il a également décidé d’adopter stricto sensu une « hygiène de vie irréprochable ».
Mathieu souffre en fait d’un syndrome de « dégénérescence » qui touche son cerveau. « Ce sont de mini AVC qui attaque la microcirculation du cerveau, confiait-il. J’ai une chance sur trois de faire un AVC massif », expliquait-il à regret.
Mathieu papa pour bientôt…
Aux dernières nouvelles, l’espérance de vie des individus touchées par cette terrible maladie est limitée malheureusement à 62 ans. Depuis son diagnostic, le quadragénaire vit de ce fait chaque jour comme le dernier. C’est la raison pour laquelle il souhaite devenir enfin papa. Malgré sa rupture avec Alexandre, Mathieu a poursuivi les démarches pour la GPA.
« Le bébé va arriver d’ici à 15 mois, se réjouissait-il. Je vais faire le bébé tout seul, ajoutait-il encore. Je suis donc parti donner ma semence ». « Je suis père jusqu’au bout des ongles ».