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« J’aurais peut-être dû rester » : cet animateur toujours perturbé par son départ définitif de TF1

Jaurais peut-être dû rester : cet animateur toujours perturbé par son départ définitif de TF1
© Purebreak

« J’aurais peut-être dû rester » : cet animateur toujours perturbé par son départ définitif de TF1. Retour sur ses confidences.

C’est en 2018 qu’il est parti du groupe et il faut croire que ça lui manque ! En tout cas, c’est ce que laisse entendre ses propos. « J’aurais peut-être dû rester » : cet animateur toujours perturbé par son départ définitif de TF1.

« Il y a un confort quand on est sur TF1 qu’on n’a peut-être pas sur d’autres chaînes » !

Il s’agit de Vincent Cerutti, l’ex animateur de Danse avec les stars. Le compagnon d’Hapsatou Sy co-présentait le célèbre émission aux côtés de Sandrine Quétier durant les 5 premières saisons de « Danse avec les stars ».

Ses relations avec la direction allaient en s’envenimant, il a choisi de partir définitivement de la chaîne privée le 17 novembre 2018.

Officiant désormais sur l’antenne de « M Radio », il est revenu sans fard sur ce départ dans « Chez Jordan« , le rendez-vous vidéo de Jordan De Luxe pour Télé-Loisirs.

Après avoir pris du recul, l’animateur a finalement reconnu que son départ de TF1 n’était peut-être pas la meilleure décision de sa carrière.

« J’aurais peut-être dû rester, affirmait-il avec franchise. Mais je ne le regrette pas, ce qui se fait doit se faire. J’ai été exigeant. On dit toujours que c’est la faute des autres mais en réalité c’est sa faute à soi », admettait-il.

« Il y a un confort quand on est sur TF1 qu’on n’a peut-être pas sur d’autres chaînes mais j’avais besoin de partir« , poursuivait Vincent Cerutti. Un éventuel retour, ça lui dit ? « On en discutera », indiquait le quadragénaire.

« J’ai fini par dire à la chaîne qu’il y avait tromperie sur la marchandise car ils ne m’utilisaient pas pour les raisons pour lesquelles ils m’avaient fait venir » !

« On m’a parfois glissé des peaux de bananes, mais je ne suis pas dans l’aigreur ou l’amertume. J’ai le sentiment d’avoir rempli la mission qu’on m’avait confiée. Simplement, j’ai fini par dire à la chaîne qu’il y avait tromperie sur la marchandise car ils ne m’utilisaient pas pour les raisons pour lesquelles ils m’avaient fait venir », expliquait-il le mois de juillet dernier dans les colonnes du magazine Voici.

« Moi, j’ai trop besoin de sortir du cadre, de pouvoir faire l’interview, d’être dans l’empathie, un peu comme ce que j’avais connu à mes débuts…« , confessait-il à l’époque.