Les temps sont durs pour l’ancien acheteur de France 2. « J’ai vendu, pas par gaieté de cœur » : en difficulté financière, Pierre-Jean Chalençon annonce une triste nouvelle. Les détails dans les prochaines lignes.
Pierre-Jean Chalençon, selon le journal Le Figaro, est plongé dans une galère sans précédente. Étouffé par une montagne de dettes, il a dû se séparer de certains trésors qui datent de l’ère napoléonienne. « J’ai vendu, pas par gaieté de cœur » : en difficulté financière, Pierre-Jean Chalençon annonce une triste nouvelle.
Pierre-Jean Chalençon en plein déboires financières.
Pierre-Jean Chalençon multiplie les frasques. Voilà même qui a conduit au départ du truculent énergumène de la bande d’acheteurs de Sophie Davant en juin 2020, après une succession de polémique. 1 an plus tard, il a été épinglé pour avoir organisé des dîners clandestins dans son Palais Vivienne, durant le confinement.
L’ami de Julien Cohen a tout récemment révélé dans les colonnes du Figaro, avoir dû se séparer de certains de ses biens les plus chers à son cœur.
A savoir l’une des trois seules lettres en anglais connues de la main de Napoléon ou encore l’assiette dite « des quartiers généraux« , emmenée par l’Empereur pendant son exil à Sainte-Hélène.
« Mais il lui reste encore des chefs-d’œuvre, comme le testament de l’Empereur ou le cachet en or pris dans sa berline de Waterloo », indique son ex-gestionnaire de collection, Tarik Bougherira.
D’autres œuvres appartenant à Pierre-Jean Chalençon seront proposées à la vente Osenat à Fontainebleau dès ce 12 mars. Y sera proposée une aiguière confectionnée l’orfèvre Martin-Guillaume Biennais pour le roi de Naples Joachim Murat.
Cet objet est selon Le Figaro, le signe « qu’il aurait peut-être des déboires financiers ». Il faut croire que les mauvaises langues n’ont pas tout à fait tort. Pierre-Jean Chalençon est acculé par de gros problèmes financiers à cause de son Palais Vivienne.
« Effectivement, j’ai vendu, pas par gaieté de cœur, pour payer les frais financiers de mon Palais Vivienne pour lequel je me suis endetté à l’achat, soit 30 000 à 40 000 euros par mois », expliquait-il.
« Au lieu de couper le tronc, j’ai donc préféré couper les branches de ma collection »
Alors que je n’ai reçu aucune aide de l’État pendant la pandémie. J’ai failli tirer mon chapeau à la France mais j’aime toujours autant Napoléon. Au lieu de couper le tronc, j’ai donc préféré couper les branches de ma collection », se confie-t-il sans filtre au Figaro.
Très attaché à cette propriété, Pierre-Jean Chalençon préfère de loin, se séparer de ses biens les plus précieux que du Palais Vivienne. « Cela dépend du prix qu’on m’en propose », conclut le collectionneur…