Le doyen du PAF ne cesse d’impressionner son public malgré son âgé déjà très avancé. « J’ai perdu quatorze kilos, j’étais une ombre » : cette confidence choc de Michel Drucker !
À 80 ans, l’animateur, reconnaissant quelques difficultés d’ordre physique et mental, ne compte pas prendre sa retraite dans les 20 prochaines années s’il resterait encore en vie. « J’ai perdu quatorze kilos, j’étais une ombre » : cette confidence choc de Michel Drucker. On vous raconte tout…
« ‘Vieillir, évidemment, devenir vieux, jamais !‘ »
Michel Drucker a célébré en grande pompe ses 80 ans ce lundi 12 septembre 2022, sur le plateau de Vivement dimanche. L’émission qu’il présente désormais sur l’antenne de France 3.
Dans une entrevue accordée au magazine Télé Star, le message a été très claire pour celui que tous les médias surnomme « le dinosaure du PAF ». « Aznavour disait : ‘Vieillir, évidemment, devenir vieux, jamais !’ » Scandait-il avec fierté.
En réalité, enchaînait-il, « ce qui me fait le plus plaisir, c’est de faire ma 58e rentrée et ma 23e pour Vivement dimanche. C’est miraculeux, reconnaissait-il, surtout après les deux ans que je viens de passer« , en faisant allusion à son gros problème de santé.
Autrement dit, le présentateur exerce toujours avec autant de passion son métier. Pour maintenir le cap, il s’adonne, corps et âme, à un fastidieux exercice physique.
« J’ai suivi le même rythme d’entraînement que celui que je suivais au moment de ma rééducation », révélait-il.
« Je fais une heure de sport par jour, du rameur, avec l’appareil que m’a offert Jean-Claude Killy, détaillait-il. Ce n’est pas tout. J’ai également mon tapis d’abdos et un vélo ».
« Les hasards de la vie font que j’ai eu un an pour me retaper… »
C’est aussi une façon pour le mari de Dany Saval d’éviter de replonger dans la terrible torpeur qui fut la sienne il y a maintenant quelques mois.
« J’avais perdu quatorze kilos, j’étais une ombre », se rappelait le père de famille.
Ce qui ne l’empêche de rester optimiste. « Les hasards de la vie font que j’ai eu un an pour me retaper à l’abri des regards, durant toute l’année de la Covid et du confinement, lorsque tout était à l’arrêt total sur le plan culturel ».