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Impôts : ces deux mauvaises nouvelles qui vont vous faire mal !

Impôts : ces deux mauvaises nouvelles qui vont vous faire mal !
Impôts : ces deux mauvaises nouvelles qui vont vous faire mal !-© Adobestock

2 grandes promesses du président Emmanuel Macron vont être rangées au placard au grand dam des Français.

Deux mauvaises nouvelles sur les impôts viennent de tomber et ils risquent de faire mal aux contribuables concernés ! On vous donne les détails.

Selon Les Echos, la réforme des retraites ne semble pas être en pause, contrairement à certaines promesses présidentielles. En effet, l’exécutif envisage de les reporter, en raison de contraintes budgétaires actuelles.

Impôts : ces deux mauvaises nouvelles qui vont vous faire mal !

Un membre influent du gouvernement confie que l’objectif serait de « faire une pause pour les droits de succession ainsi que la conjugalisation pour tous de l’impôt sur le revenu ».

L’issue finale est encore en attente, alors que la préparation du budget de 2024 est lancée.

Il convient de rappeler que le chef de l’Etat avait proposé, lors de sa campagne électorale en 2022, de « relever les abattements sur les droits de succession de 100 000 euros à 150 000 euros pour les enfants et de 7 967 euros à 100 000 euros pour les transmissions indirectes (neveux et nièces, petits-enfants) ».

Il avait également promis d’ »aligner la fiscalité des donations entre enfants et enfants de conjoints, incluant les non adoptés. Tout cela aurait engendré une facture évaluée à 3 milliards d’euros pour les comptes publics selon le président, alors candidat », rappelle le journal économique.

Comme on peut lire dans Les Echos, « d’autres estimations ont indiqué que la facture allait même jusqu’à 4 milliards ».

« Les baisses d’impôt annoncées risquent d’être abandonnées ».

Face à un déficit budgétaire de près de 5% en 2023, l’exécutif adopte une position de restriction sur les dépenses.

« Les baisses d’impôt annoncées, notamment sur les droits de succession et la déclaration d’impôt commune pour les concubins, risquent d’être abandonnées », Peut-on lire dans les colonnes du Monde. Ce qui revient à confirmer les informations des Echos.

La possibilité de déclaration d’impôt commune pour les couples en union libre, qui permettrait de payer moins d’impôts, « est freinée par des obstacles techniques et juridiques ».

Selon l’Insee, cette mesure ne serait avantageuse que pour « 36% des couples concernés » suscitant ainsi des débats sur ses bénéfices réels. Puisque « 40% y perdraient ».