Harry est furieux, l’époux de Meghan Markle déclare la guerre au gouvernement britannique. Il intenterait une nouvelle action en justice.
Harry, l’époux de Meghan Markle déclare la guerre au gouvernement britannique comme annoncé ce 4 août dernier par Newsweek. Le Duc de Sussex poursuit le gouvernement britannique en justice pour la suppression de sa protection policière lors de ses déplacements au Royaume-Uni. Découvrez plus de détails.
Début de rébellion de Harry envers la famille royale.
Le fossé entre la famille royale et Harry ne va pas se refermer de sitôt. 2 ans plus tôt encore, Meghan Markle et Harry renonçaient à leurs titres royaux.
« Oui, la reine était au courant. Oui, la reine savait que Harry et Meghan souffraient. Mais, elle ne savait pas que cette annonce était déjà écrite et déjà publiée », a fait savoir le journaliste Philip Turle dans Meghan & Harry : panique à Buckingham.
« Nous avons l’intention de renoncer (au rôle de) membres ‘seniors’ de la famille royale et de travailler pour devenir financièrement indépendants, tout en continuant à soutenir la reine », expliquaient les Sussex dans leur communiqué.
De ce fait, ils ont pris la décision de partir s’installer aux Etats-Unis. Depuis, les parents d’Archie et de Lilibet n’ont plus droit au service de sécurité financé par le contribuable britannique.
Harry poursuit le gouvernement britannique en justice
Pendant leur séjour au Royaume-Uni, dans le cadre du Jubilé de la reine Elisabeth II, Meghan Markle et Harry « ont bénéficié uniquement de la protection de leurs gardes du corps personnels ».
Vu l’interdiction de port d’armes assignée à ces agents de sécurité, le couple n’a pas attendu la fin des festivités pour regagner la Californie.
Furieux par cette décision du gouvernement qui les ( Les Sussex, NDLR) pousse à renoncer à leur sécurité lorsqu’ils sont sur le sol anglais, Harry aurait lancé une nouvelle action en justice.
Le fils cadet de Lady Diana aurait déposé plainte contre le gouvernement britannique ainsi que la police métropolitaine, rapporte Newsweek le jeudi 4 août dernier.
Une demande qui ne serait pas légitime si l’on en croit certains éléments du dossier judiciaire consulté par Newsweek.
Affaire à suivre…