Françoise Hardy vulnérable : « Je vis confinée depuis 3 ans »

Françoise Hardy vulnérable : Je vis confinée depuis 3 ans
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Françoise Hardy vulnérable : « Je vis confinée depuis 3 ans ». On vous fait le point dans les prochaines lignes de notre article.

En entretien avec nos confrères du JDD, l’ancienne épouse de Jacques Dutronc donne de ses nouvelles. Françoise Hardy vulnérable : « Je vis confinée depuis 3 ans ».

Affaiblie, Françoise Hardy se confie sur son état de santé.

En marge de la sortie du Top 50 des personnalités préférées des Français, ce 26 décembre, Françoise Hardy qui faisait partie de la liste, a livré une interview auprès du Journal du dimanche.

L’auteure-compositrice de 77 ans a surtout évoqué l’impact de la pandémie à Covid-19 sur son quotidien.

« Elle n’a pas changé ma façon de vivre puisque, à cause des effets secondaires de 45 radiothérapies qui ont traversé ma tête et d’une immunothérapie, je vis confinée depuis trois ans.« , indiquait la mère de Thomas Dutronc.

La crise sanitaire n’a pas du tout amélioré sa situation, ni encore son état d’esprit. Elle se dit être « quelqu’un d’anxieux » depuis bien longtemps.

« La pandémie a beaucoup augmenté [s]es angoisses pour l’avenir du monde en général », admettait la chanteuse émérite. Cette appréhension du futur notamment de l’année 2022 qui sera bientôt là, concerne d’autant plus « ceux qu’[elle] aime ».

Françoise Hardy révèle vivre difficilement l’idée de terminer 2021 pour un nouveau chapitre, « à cause de cette pandémie interminable et de ce qu’elle provoque sur le plan tant social qu’économique ».

« Maman n’a pas une bonne santé, ses jours ne sont pas en danger » !

En novembre dernier, son fils né de son histoire d’amour passionné avec le chanteur Jacques Dutronc s’est laissé aller à quelques confidences auprès toujours du JDD.

« Maman n’a pas une bonne santé, ses jours ne sont pas en danger », confiait-il à l’époque. « Elle a eu un cancer, mais il n’y a pas de récidive », rajoutait le musicien qui va partir en tournée avec son père.

Elle « a juste des problèmes au quotidien, des inconforts graves liés aux séquelles de la chimio et de la radiothérapie », est-il indiqué dans les colonnes du Parisien.

Françoise Hardy, indique nos confrères de L’Obs, déclarait avoir demandé à ses médecins s’ils « pourraient [l’]aider en cas d’échec de [s]on traitement ». « L’un m’a répondu qu’euthanasier était devenu trop risqué pour les médecins, l’autre a évoqué les soins palliatifs », déplorait-elle.