L’espoir de guérir un jour semble s’envoler. Françoise Hardy en fin de vie, la dernière confession de Jacques Dutronc. On vous raconte tout dans les prochaines lignes.
Pour rappel, la chanteuse a pris un tournant de sa carrière le 25 juin 2019. En effet, après l’annonce de son cancer, la chanteuse, interrogée par RTL, la fin la fin définitive de sa carrière. Elle a décidé de livrer un combat sans merci contre cette terrible maladie. Françoise Hardy en fin de vie, la dernière confession de Jacques Dutronc.
On ne peut pas être chanteuse et être dans cet état-là, ce n’est pas compatible. »
Malgré ses nombreuses batailles, le cancer a fini par prendre le dessus. Elle se retrouve actuellement en fin de vie. Pour cela, elle ne cherche plus à se voiler la face et décide de dire toute la vérité lorsqu’elle fait le bilan sur son état de santé réel.
« Ils me pourrissent la vie et m’affaiblissent de plus en plus à cause de l’absence de salive, du manque d’irrigation de toute la zone ORL, d’un assèchement généralisé et des hémorragies nasales, des détresses respiratoires (…), affirmait Françoise Hardy. On ne peut pas être chanteuse et être dans cet état-là, ce n’est pas compatible. »
Une douleur insoutenable qui pourrait ouvrir la porte du suicide légalisé: l’euthanasie. Mais en France, n’est pas encore autorisée. Le contraire donc en Suisse ou encore en Belgique. « Je suis dans un état de souffrance vraiment cauchemardesque la plupart du temps ».
“Je ne peux plus avaler grand-chose, et la préparation d’une alimentation, toujours la même, me prend plus de 5 heures par jour. » La chanteuse n’a « plus rien qui fonctionne normalement depuis ces thérapies. »
« Si c’est pour souffrir, pour faire de l’acharnement thérapeutique, elle préfère en finir ».
Séparée depuis de nombreuses années avec celui qui demeure son mari, Jacques Dutronc, elle continue de garder le contact. « Jacques et moi sommes d’accord sur beaucoup de choses et il ne veut pas que je souffre de façon inhumaine à cause des séquelles de traitements trop lourds et de l’âge. »
« Si c’est pour souffrir, pour faire de l’acharnement thérapeutique, elle préfère en finir ». « Je ne crois pas que je me lancerais trop vite dans des démarches (…) Je n’ai cherché personne et de toute façon, je ne saurais pas comment faire… »