Zoom sur la carrière passionnante d’Azucena Caamaño, la femme et pilier du chanteur Florent Pagny. On vous dit tout !
« Ça s’est passé comme ça(…) Ça fait 30 ans » !
Elle partage la vie de l’ex-mannequin depuis trente ans. La belle brune lui a donné ses deux enfants, Aël et Inca. Avec Azucena Caamaño, racontait-il en avril dernier dans 20h30 le dimanche sur France 2.
« Ça s’est passé comme ça parce que d’un seul coup je ressentais quelque chose et que je ne voulais pas perdre cette puissance. Elle avait tout ce qui me manquait donc j’espérais avoir tout ce qui pouvait lui manquer aussi ».
« On est un vrai couple karmique. Ça fait 30 ans« , se réjouissait l’ancien coach de The Voice. En 1993, Florent Pagny s’éprend de l’Argentine et en 2006, il décide de sceller leur amour par le mariage.
Florent Pagny : zoom sur la carrière passionnante de sa femme Azucena Caamaño
En plus de sa carrière d’artiste-peintre, Azucena Caamaño se trouve également être cheffe d’entreprise. En effet, la Patagonienne détient sa propre marque de cosmétiques bio baptisée Rosazucena.
« J’ai créé la marque il y a douze ans, après avoir découvert en Argentine la Rosa Mosqueta (rose musquée), une plante sauvage très envahissante, confiait-elle au magazine Gala en 2021. Son fruit, le cynorrhodon, produit une huile extraordinaire aux propriétés régénératrices et raffermissantes. Rosazucena, poursuivait-elle à l’époque, c’est un peu la réunion de plusieurs de mes envies : mon goût pour la cosmétique, l’envie de redorer le blason de cette plante considérée comme ‘mauvaise’, et pourtant aux qualités si extraordinaires, mais aussi mon amour pour la nature et plus particulièrement celle de la Patagonie, où je suis née ».
Cet attrait pour la nature, elle la doit à ses deux grands-mères « qui ont toutes deux vécu au milieu de la nature ».
« Ma grand-mère paternelle, explique-t-elle avec fierté, faisait tout : la cuisine, le potager, les vêtements, la maîtresse pour les enfants… Parce qu’il n’y avait rien à des kilomètres à la ronde. Tout se faisait à la ferme : on mangeait ce qu’on cultivait, en fonction de la saison. J’ai grandi en admirant cette capacité qu’elle avait à être totalement autonome ».