Leur amour, même si cela n’a duré que quatre petites années, a marqué plusieurs générations. Aujourd’hui encore, la presse continue d’en parler comme si leur rupture datait d’hier. Florent Pagny et Vanessa Paradis agressés dans la rue, cet acteur très connu vole à leur secours !
Depuis le début de Vanessa Paradis dans la chanson, la jeune adolescente faisait systématiquement l’objet d’une attaque surprise sur les places publiques. Ce phénomène s’est aggravé au moment où elle s’affichait aux côtés de son premier grand amour. Florent Pagny et Vanessa Paradis agressés dans la rue, cet acteur très connu vole à leur secours !
« Nous intervenions physiquement parce que, quand il était avec Vanessa, des types venaient agresser Florent… »
« Dans la rue, des adolescents lui crachent au visage et lui empoignent les cheveux », rappelait en effet le célèbre biographe du chanteur qui souffre depuis quelques mois d’un cancer de poumon.
Il s’agit en effet d’Éric Le Bourhis, auteur de Florent Pagny, portrait d’un rebelle. Quand cela arrive, le photographe Jean-Marie Marion se retrouvait dans l’obligation d’intervenir.
Dans certaines circonstances, il se fait aider par Mouss Diouf. Ce dernier s’est révélé au grand public dans la série Julie Lescaut. Il jouait le rôle d’adjoint de Véronique Genest.
« Cela nous est arrivé deux ou trois fois avec Mouss Diouf, s’était-il souvenu. Nous intervenions physiquement parce que, quand il était avec Vanessa, des types venaient agresser Florent, poursuivait-il, avant d’ajouter : il fallait faire le ménage« .
« On me crachait dessus dans la rue, on me tirait les cheveux, on m’insultait ».
Une période trouble confirmée par Vanessa Paradis. » Mon image était tellement exposée, ma voix tellement présente sur les ondes qu’il y a eue un phénomène de saturation, de rejet« , confessait-elle.
« Et dans le monde des adolescents, c’est brut, pour ne pas dire brutal. J’en ai bien chié« , poursuivait-elle, avant de pouffer de rire.
« On me crachait dessus dans la rue, on me tirait les cheveux, on m’insultait, on taguait les murs de ma maison, ‘p***’, ‘salope’. Entre 14 et 16 ans, et jusqu’au film Noce blanche en fait, ça a été violent, regrettait-il. C’est complètement l’inverse d’aujourd’hui », a-t-elle conclu.