Florent Pagny : asphyxié par les impôts, le chanteur a dû se séparer de ses biens très précieux. Retour sur ses confidences CHOCS.
Florent Pagny : asphyxié par les impôts, le chanteur a dû se séparer de ses biens très précieux. Le mari d’Azucena n’a pas eu d’autres choix que de se priver de sa grande passion : l’automobile.
« J’y vais aussi pour de vraies raisons fiscales ».
La mort dans l’âme, l’ancien coach de The Voice a dû troquer ses voitures de collection afin de s’acquitter de ses impôts.
« Aujourd’hui, je sais seulement que dans neuf mois, j’aurai fini ma tournée, je n’aurai plus d’engagements. Je serai libre. En revanche, je suis conscient qu’Azucena est plus prévoyante que moi. Elle est ma meilleure conseillère. Et nous allons redevenir résidents français, tout simplement », confiait Florent Pagny auprès de nos confrères de Gala, en faisant allusion à sa tournée des 60 ans, qu’il a interrompu en raison de ses soucis de santé .
« La vie est extraordinaire là-bas, donnait-il le ton en faisant référence au Portugal. Mais j’y vais aussi pour de vraies raisons fiscales« , jouait-il franc-jeu.
« Pas d’impôts sur l’héritage et sur la succession. Pas d’impôts sur la fortune. Je ne suis pas fortuné mais j’espère y arriver. Et pendant 10 ans, pas d’impôts sur les royalties, détaillait le papa d‘Inca et d’Aël. Et donc beaucoup d’artistes se disent que ça peut valoir le coup« , expliquait-il pour revenir à son départ en 2017 de la France.
Florent Pagny : « J’avais une très belle collection de sept véhicules dont j’ai dû me séparer aux enchères à cause des impôts » !
Florent Pagny avait en effet eu de gros problèmes avec le fisc français et a dû, à une époque de sa vie, renoncer à l’une de ses plus belles collections de voitures pour s’en tirer.
Après la sortie de sa chanson Ma liberté de penser en 2003, il a été condamné pour fraude fiscale en 2005. A la suite d’un problème de TVA dans sa déclaration, il a dû mettre aux enchères plusieurs de ses biens.
« J’avais une très belle collection de sept véhicules, se rappelait-il – une tuerie – dont j’ai dû me séparer aux enchères à cause des impôts, racontait-il en toute franchise. A l’époque j’ai juste récupéré ma mise et aujourd’hui ça vaudrait dix fois plus.« , terminait-il ses confidences.