La célèbre présentatrice de la première chaîne s’est toujours démarquée par sa sensibilité. Une attitude qui ne tourne pas toujours à son avantage. Faustine Bollaert : la journaliste fond en larmes, coup de théâtre sur France 2.
De retour sur le plateau de Ça commence aujourd’hui ce mardi 26 avril 2022, elle n’a pas pu contenir ses émotions devant le bouleversant témoignage de Karine, une femme de 45 ans, originaire du nord de la France. Faustine Bollaert : la journaliste fond en larmes, coup de théâtre sur France 2.
Ces moments de pure émotion…
Aux commandes d’un nouvel épisode de Ça commence aujourd’hui, Faustine Bollaert, en subissant un désaveu durant le prime time, la journaliste star de France 2, s’était illustrée avec son fameux talk-show.
Son émission a été marquée par les témoignages de Karine. La mère de famille a expliqué en direct de France 2 comment sa famille avait accueilli, à bras ouverts, Anne-Sophie.
Placée par un organisme social destiné à l’enfance au sein de sa famille, un lien très spécial s’est noué entre elle et la petite Anne-Sophie. Mais après deux ans de pur bonheur, il a été décidé que la jeune fille soit replacée en foyer avec sa fratrie.
Pour Karine, c’est le comble du déchirement émotionnel… Elle qui a déjà considéré cette dernière comme sa propre fille. La séparation a été bouleversante… D’un côté comme dans l’autre. Face à une telle anecdote, Faustine Bollaert s’est fondue en larmes.
Plusieurs années, les deux femmes se sont retrouvées grâce aux réseaux sociaux. Âgée aujourd’hui de 24 ans, Anne-Sophie est devenue une aide-soignante.
« Elle a toujours été là… »
Il y a quelques mois, la journaliste a exactement ressenti la même émotion face à des anciens SDF. « Elle a toujours été là, et elle l’est encore aujourd’hui, ce qui prouve que c’est ma grande sœur« , déclarait une certaine Bilel face à son amie.
« Tout est possible. Il va s’en sortir, je vais m’en sortir et ensemble, on va changer les choses. Personne ne nous arrêtera. Je vous mets au défi de nous arrêter, je vous jure. On a hâte de tout ce qui va se passer, on a foi« , scandait à son tour Nawell. « Bon… bah, pfff ! ».