Cette histoire en bouleverserait plus d’un. Il s’agit de celle d’un septuagénaire expulsé de son domicile par sa fille. Ce septuagénaire n’a pas eu d’autres choix que de vivre dans un mobile-home.
Le vieil homme décide de porter plainte
Il s’agit d’un homme de 78 ans, propriétaire d’une maison à Mailhac, dans l’Aude, en Occitanie. Selon le récit, sa fille et son compagnon l’auraient expulsée de son logement en juin dernier. Ainsi, il a vécu dans un mobil-home depuis ce temps, selon les propos de La Dépêche, vendredi 18 novembre.
Toutefois, le septuagénaire a déposé une plainte sur le sujet et compte bien regagner son domicile. Ce vieil homme de nationalité allemande vit dans cette région depuis les années 2000. Et selon La Dépêche, il a d’abord subi un coup de poing du compagnon de sa fille avant l’expulsion.
Le retraité victime de sa compassion
Le vieil homme a effectué cet entretien avec La Dépêche en présence d’une traductrice. En effet, il ne s’exprime pas très bien en français.
En réalité, le vieil homme de 78 ans a logé sa fille et ses 4 petits-enfants avec lui depuis deux ans. Et apparemment, tout se déroulait bien jusqu’à ce que sa fille rencontre son nouveau compagnon. De ce fait, il aurait songé à diviser la maison en deux. Toutefois, les choses ont empiré avant même qu’il ne mette son idée à exécution. En effet, le compagnon de sa fille aurait donné un coup de poing au visage du retraité.
Ce septuagénaire contraint à vivre dans un mobil-home
Suite à cet incident, le retraité a reçu des soins aux urgences de Narbonne. Seulement, sa fille et son compagnon ne le laissent plus revenir dans sa maison après cela. Et tout en vivant dans la peur, il a alors décidé d’élire domicile dans son ancien atelier de bricolage. Cet atelier se trouve à un demi-kilomètre de sa maison.
En réalité, il s’agit d’un mobile-home de quatre pièces sans eau courante. Et l’électricité vient en intermittence grâce à un groupe électrogène qui fonctionne avec de l’essence. Quant à sa fille, elle n’a pas voulu s’exprimer sur le sujet auprès de La Dépêche.